Plus les singes crient, plus ils en ont des petites

Selon une étude scientifique, chez les singes aussi ce sont ceux qui crient le plus qui en ont une plus petite.

Crie-moi ton nom, je te dirais…

D’après l’étude scientifique réalisée par les chercheurs de l’Université de Cambridge, les singes hurleurs compensent la taille de leurs testicules par la puissance de leurs cordes vocales : plus le singe crie fort, plus elles sont petites.

D’après les auteurs « «Plus l’organe vocal d’un singe hurleur mâle est grand et plus son cri est imposant et grave, plus ses testicules sont petits et moins de sperme ils produisent»
Pour les scientifiques c’est un phénomène tout à fait normal, car les singes s’adaptent au besoin de leur vie sauvage.
Les singes vivant en groupe, mais avec un mâle pour plusieurs femelles doit avoir une grosse voix, mais n’a pas besoin d’avoir des attributs impressionnants, ni beaucoup de sperme. Alors que les singes vivant avec plusieurs autres mâles ont besoin de se reproduire et de séduire avec des organes génitaux bien plus gros et produisant plus de sperme.

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Une sélection sexuelle prédite par Charles Darwin

L’auteur et biologiste de l’étude, Jacob Dunn, explique ce phénomène comme une sélection sexuelle naturelle typiquement décrite et par Darwin : «Chez d’autres animaux, il y a des données qui montrent que les mâles qui ont des corps imposants, des couleurs vives, des cornes ou des longues canines investissent moins dans d’autres traits reproductifs. Mais c’est la première fois qu’on a la preuve qu’une espèce développe une forme de compensation entre investissement vocal et production de sperme.»

Mais alors, si l’homme descend du singe et le singe de l’arbre, quand est-il des organes génitaux et du phénomène de compensation ?

La seule étude scientifique mettant en corrélation la taille des testicules et le comportement humain, fait ressortir que les hommes avec de petits testicules sont de meilleurs pères. Est-ce que ça veut dire qu’ils crient plus fort ?

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Poster ses repas sur instagram fait maigrir

Selon une étude scientifique, si on veut maigrir il faut poster des photos de ses repas sur instagram.

Alors que la mode de l’instafood explose, une étude scientifique annonce que celle-ci pourrait faire maigrir ! C’est sans doute une étude qui fera le bonheur des blogueurs et blogueuses se servant d’instagram, qui souhaite vendre du #pornfood mais aussi suivre la mode du #running et du #fitness !

L’attrait d’esthétisme : coupe-faim naturel

Lorsque l’on va au restaurant avec ses amis, il devient d’usage de sortir son smartphone pour faire la photo tant attendu de son repas, de l’entrée au dessert.
Seulement d’après cette étude scientifique publié dans le Journal of Consumer Psychology, le simple fait de passer plusieurs minutes à choisir l’angle, régler la luminosité, ajouter un filtre, poster le tout avec un hashtag qui marche et une jolie phrase d’accroche, ne nous permettrait pas de profiter de son assiette.

On passerait donc plus de temps à prendre des photos et à les publier qu’à profiter de son moment culinaire !

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Des photos et des cacahouètes

Pour en arriver à de tels résultats, il a fallut tester deux groupes de personnes : le premier groupe devait juger des photographies en donnant une note sur l’envie qu’elles développaient avant de devoir gouter des cacahouètes; le second groupe devait uniquement choisir une photographie avant de gouter les cacahouètes.

Le premier groupe a montré un attrait beaucoup moins important pour les cacahouètes, alors que le second groupe les appréciaient.
En conclusion, plus on passe de temps sur les photographies, moins on a envie de manger, et moins on mange.

Laissez votre smartphone dans votre sac la prochaine fois que vous irez au resto, sauf si vous souhaitez maigrir !

L’astuce régime consisterait donc à commander le plus de plats possible, et à les prendre en photos… testé et approuvé par un bon nombre de portefeuilles, en tout cas.

 

 

 

L’âme sœur : plus facile à trouver IRL que sur Tinder

Selon une étude scientifique, l’algorithme de Tinder n’est pas plus efficace que le hasard !

L’amour, une histoire de hasard

C’est une étude de l’université Northwestern qui remet en cause la réussite des algorithmes utilisés pour les sites de rencontres car ils ne prennent pas en compte les trois points essentiels pour créer une relation sérieuse.

En effet, selon le chercheur Eli Finkel qui est à l’origine de l’étude, il faut regrouper trois critères pour réussir à nouer une relation dans la durée : il faut que la personne corresponde aux caractéritiques individuelles que l’on désire, c’est à dire l’humour, l’intelligence, les passions); il faut aussi que la rencontre se passe bien pour que chacun se montre sous son meilleur jour; et enfin il faut que les conditions extérieures (statut social, origine) conviennent.

L’algorithme de Tinder ne prendrait en compte que les caractéristiques individuelles qui représentent 0.5 % de la réussite du couple. Il serait donc plus efficace de sortir dans la rue et de rencontrer quelqu’un par hasard pour rencontrer le véritable amour.

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Une publicité mensongère

Le chercheur Eli Finkel affirme qu’ «il est pratiquement impossible de réussir à produire ce que la plupart des sites de rencontres promettent», c’est à dire permettre de rencontrer l’âme sœur.

Suite à cette étude scientifique, les chercheurs ont demandé à ce que les autorités pénalisent les applications offrant un service de rencontre avec une promesse de trouver le véritable amour.

Des algorithme extérieurs de plus en plus fou, de moins en moins humain

Si l’algorithme de Tinder est inefficace, il reste basique et nous permet de surfer sur des profil jusqu’à en trouver un qui nous plait, alors que les applications lancées extérieurement sont plus violentes.

Il ne devient plus nécessaire de chercher, « inconditional love » répertorie ce qu’il considère être des profils de jolies filles sans prendre en compte les gout de chacun, mais en permettant de sélectionner quelques préférences basiques. Une autre application remplace totalement l’utilisateur en sélectionnant les profils et en engageant la discussion. Pendant que vous vous faites vos courses, travaillez, regardez un film : vous draguez sans bouger le moindre bout de neurone.

Attention, il faudra quand même se bouger pour aller au rendez-vous, il n’existe pas d’application pour ça. Pas encore, du moins.

 

Les bébés pleurent la nuit pour éviter une grossesse rapprochée !

Selon une étude scientifique, les bébés pleurent la nuit pour fatiguer les parents et éviter un retour de couche.

Des pleurs répertoriés

Jusque là les études divisaient les pleurs de bébé en six raisons tout à fait rationnelles, en se référent à l’échelle de Brazelton: la faim, l’ennui, la douleur, les coliques, les cris de défoulement du soir, et l’inconfort.

Cependant cette nouvelle étude scientifique de l’Université d’Harvard montrerait qu’une septième raison expliquerait les pleurs nocturnes du bébé : l’envie d’épuiser les parents.
David Haig, l’auteur de l’étude, explique que les pleurs nocturnes du nourrisson sont là pour fatiguer nerveusement et physiquement les parents en demandant une attention sans trêve. Ce n’est bien entendu pas par méchanceté que les bébés feraient ceci, mais afin d’éviter une nouvelle grossesse due à un retour de couche.

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Des bébés programmés pour la survie

David Haig, confirme les résultats de son étude, et explique que «la fatigue de la mère peut être considérée comme partie intégrante de la stratégie d’un nourrisson pour prolonger l’écart entre deux naissances (…), les naissances rapprochées sont associées à une augmentation de la mortalité infantile, surtout en milieu modeste ou dans les milieux ou les épidémies sont plus fréquentes».

Siobhan Freegard, créateur d’un réseau parental britannique Netmum, va dans le sens de l’étude en ajoutant qu’ «Espacer les naissances permet à la mère de se remettre de l’accouchement et de rendre plus indépendant son premier enfant, augmentant ainsi ses chances de survie. Cette étude paraît donc plutôt sensée.»

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L’enfant ne veut pas forcément garder l’attention pour lui et épuiser sa mère pour le plaisir, il veut aussi s’assurer de sa propre survie. D’ailleurs, si les bébés allaités au sein demande beaucoup plus après leur mère la nuit, c’est simplement pour que l’aménorrhée dure plus longtemps et assure ainsi l’infertilité jusqu’à la fin de l’allaitement au sein.

Plus fort que Chuck Norris, le whisky fait un tour dans les étoiles

Selon une étude scientifique, le whisky qui vieillit dans l’espace est meilleur que celui qui vieillit dans les cave écossaises.

Une expérience hors du temps, et de la terre

C’est la distillerie Ardbeg en collaboration avec NanoRacks LLC, qui a souhaité tenter l’expérience du vieillissement du whisky écossais sur terre et dans l’espace afin de définir la conséquence d’une absence de graviter sur la maturation de la boisson.

Le directeur technique de NanoRacks LLC, confiait avant le départ : «Cette expérience de la microgravité sur l’interaction de terpènes et d’autres molécules avec les échantillons de bois fournis par Ardbeg va nous en apprendre beaucoup sur les saveurs, et pourrait trouver des applications dans l’alimentaire ou la parfumerie».

Les bouteilles de « Galileo », un single malt de 12 ans d’age, ont vieilli en parallèle dans l’espace et sur la terre pendant trois ans. Mais c’est bien avant ce lancement que l’aventure du whisky de l’espace a commencé !

En 1999, différents distillats d’Ardbeg ont été mélangés afin d’obtenir un whisky plus doux, puis le coeur de l’ensemble a été glissé dans des fûts de vin sicilien avant d’être à nouveau mélangés avec du Ardbeg vieilli en fûts de Bourbon. Le Galiléo a été mis en bouteille à 49% avant d’être envoyé dans l’espace.

Des bouts de chêne ont aussi été envoyé dans l’espace afin de voir comment les deux interagissent.

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Un whisky qui nous fait monter au septième ciel ?

Après le retour du « whisky spatial » il aura fallut un an à la distillerie pour fournir des résultats finaux. C’est le nez principal de la marque, Bill Lumsden, qui a testé les différents fûts de whisky pour en conclure que celui de l’espace était bien meilleur que celui des caves écossaises et possédait des arômes indéfinissables.

En parrallèle de cet envoi stellaire, la distillerie a créée une édition spéciale qui a été reconnue comme le meilleur signle malt 2013 par le World whisies awards. malheureusement, il est impossible d’en trouver maintenant.

 

Selon une étude scientifique, la grenade donne une santé explosive

Selon une étude scientifique la grenade (le fruit, pas l’arme) retarderait vraiment le vieillissement. Il ne s’agirait plus d’un remède de grand-mère inventé à des fins publicitaires, mais à un remède efficace démontré par des scientifiques sérieux.

Un fruit aux molécules épatantes !

Selon les premiers résultats d’une étude scientifique publiée dans le magazine Nature Medicine, la grenade contiendrait des molécules permettant un renouvellement des cellules vieillissantes et endommagées.
Les molécules tanins ellagiques, très présentes dans la partie jaune du fruit, se transformeraient en urolithine A lors du travail des bactéries intestines réalisé après ingestion. C’est cette transformation qui permet le processus de renouvellement de cellule.

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Des tests toujours en cours

Si l’étude a été publiée, les tests sur les humains sont encore en cours. Pour l’instant les résultats de l’étude s’appuie sur les testes réalisés sur des vers et des rats qui démontraient une prolongation de la durée de vie de plus de 40%.

Les prochains résultats devraient annoncés si les humains peuvent tous réaliser la transformation des molécules en urolithine A, car pour l’instant le pourcentage absorbant prévu n’est pas si grand.

Les scientifiques conseillent de manger de manger des grenades, car quoi qu’il arrive celà à un impact positif sur la forme et sur le bien être. La partie jaune serait celle qui contiendrait le plus de molécules permettant de relancer le renouvellement des anciennes cellules; il est donc conseillé de surtout se délecter de celle-ci !

De plus, la grenade est un fruit représentant la fertilité en Chine et en Grèce, et pour certains religieux il serait le véritable fruit de la tentation croqué par Eve.

Comment déguster une grenade ?

Maintenant que vous savez qu’il faut en manger, vous vous demandez sous quelle forme ?
Forcément il est toujours conseillé de manger un fruit sans le travailler et le cuisiner afin de profiter en mieux de ses bienfaits.

Il est quand même possible d’utiliser les graines de grenade pour décorer les plats sucrés et salés.

 

Les manchots : une vie sexuelle plus que suspecte

Selon une étude scientifique, les manchots auraient des mœurs étranges.
Loin de la jolie photographie du petit manchot blotti bien au chaud contre sa mère et des grosses peluches douces, voilà que l’on découvre que cette espèce a une drôle de vie sexuelle !

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Une étude censurée par ses auteurs

George Murray Levick a participé à une expédition de trois ans dans l’antarctique pour étudier la vie sexuelle des manchots, à l’aide de cinq autres scientifiques.
Cette expédition a eu lieu entre 1910 et 1913, mais il a fallut beaucoup de temps pour la publier : celle-ci n’aurait pas pu être acceptée à l’époque, et son auteur (sous le choc de sa découverte) à préféré censurer ses résultats.
L’équipe scientifique avait alors décidé de réaliser un contre-rendu passant les détails : « les mâles se rassemblent en gangs de hooligans d’une demi-douzaine d’individus ou plus et traînent aux alentours des tertres en incommodant les occupants par leurs actes de dépravation répétés ».

Il s’agira de la seule équipe a avoir suivie un cycle complet de reproduction des manchots en Antarctique, dans des conditions extrêmement difficile. C’est sans doute pour cela que les autres scientifiques n’ont pas sorti d’étude abordant cette particularité depuis.

C’est au conservateur du Muséum d’histoire naturelle de Londres que l’on doit la vérité sur cette expédition.

Un drôle d’oiseau ? Pas si marrant que ça, le manchot !

L’équipe de George Murray Levick a découvert que le manchot avait une vie sexuelle très particulière et c’est peu de le dire !

Le manchot serait adepte de la copulation sur les femelles décédées, mais aussi sur les petits poussins qu’ils mangeront par la suite.

Le conservateur du Muséum d’histoire naturelle de Londres explique cette activité sexuelle particulière avec le climat extrêmement difficile qui ne leur permet que quelques semaines de reproduction, l’inquiétude les invitant à passer « la saison des amours » en réalisant une orgie particulièrement dépravée.

 

 

 

 

 

Le cancer du pénis, plus fort chez les zoophiles

Selon une très surprenante étude scientifique la pratique de la zoophilie pourrait entrainer des cancers du pénis.

Des chiffres inattendus sur la zoophilie

Une étude brésilienne publiée dans The journal of sexual medicine se consacrait essentiellement aux pratiques zoophiles de l’homme et son rapport avec le cancer du pénis qui est beaucoup plus présent au brésil qu’en Europe.

C’est très sérieusement que ces 20 médecins ont interviewés 492 hommes (dont 118 avec un cancer du pénis) de 18 à 80 sur leur sexualité, et ont découvert un pourcentage assez élevé de pratiquants. Alors que l’on croyait cette vieille pratique bestiale presque éteinte, elle représente 35% des hommes interviewés.

La pratique de la zoophilie commence pour la majorité vers 14 ans, et s’arrête lorsqu’une activité sexuelle commence avec une femme, ou un homme de la même espèce.
S’il est rare que cette pratique s’arrête après une première expérience (40% copulent avec des animaux au moins une fois par semaine), Il est aussi rare qu’elle perdure ; mais dans certains rares cas elle peut continuer durant une vingtaine d’année.

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L’infidélité mise en cause

Si les chercheurs ont pu réaliser une carte des animaux favoris en fonction de la géographie, faisant ressortir la préférence pour les équidés dans le nord-est et pour la volaille dans le sud-est, les hommes sont rarement fidèles à une espèces : juments, ânesses, mules, chèvres, chiens, poules, veaux, vaches, moutons, et cochons sont appréciés.

De plus pendant l’étude, les chercheurs ont découvert que la pratique zoophile pouvait être faite en groupe, entre « amoureux des bêtes ».

Des conséquences médicales

L’étude brésilienne a pu prouver que les malades atteints du cancer du pénis avaient plus de relations sexuelles avec des animaux que les hommes faisant partis du groupe témoin. Elle a aussi démontré que les patients atteints du cancer avaient plus de partenaires sexuels (hommes ou femmes), fumaient beaucoup, et payaient régulièrement contre du sexe.

Le contact répété avec le sexe des animaux pourrait avoir transféré les microbes de l’un vers l’autre, mais aussi avoir créé des microtraumatismes au niveau du pénis les rendant plus sensible à la maladie.

Selon une étude scientifique, depuis cet article, plus rien ne m’étonne.

Les petites cuillères : étude sur une disparition inexpliquée

Selon une étude scientifique, la disparition des petites cuillères entraine de grosses conséquences psychologiques sur les employés.

Linstitut Burnet en Astralie s’est penché sur le cas des petites cuillères, et de leur disparition inquiétante.

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Cuillères baguées et interrogatoires forcés

Afin de réaliser leur expérience, les scientifiques ont numéroté 70 cuillères à café inoxydable, en mélangeant 54 cuillères de qualité moyenne et 16 de bonne qualité.
Une fois les cuillères divisées en plusieurs cafétérias, ils ont pu les compter une fois par semaine pendant cinq mois.

C’est seulement quand l’expérience des petites cuillères s’est fini que les employés ont su qu’ils étaient cobayes d’une étude scientifique, et qu’ils ont répondu à un questionnaire anonyme parlant de leur fonctionnement avec les cuillères à café et les interrogeant sur le phénomène de disparition.

A la recherche des cuillères à café

Sur les 70 petites cuillères du début de l’étude, plus de 80 % avaient disparu.
Les premiers 50% ont disparu en 81 jours,  et seulement 42 jours dans les cafétérias en ville pour 77 jours en entreprise.

Si les chercheurs avaient disposé des cuillères de différentes qualité, cela n’a pas influencé leur perte, qui est à peu près équivalente qu’il s’agisse des cuillères de qualité moyenne ou haute. Selon cette étude scientifique, il faudrait acheter plus de 250 cuillères chaque année pour s’assurer dans avoir 70.

Une guerre psychologique

Les chercheurs de l’Institut Burnet explique le phénomène de disparition des petites cuillères par le résistantialisme, c’est à dire par l’aversion naturelle des objets inanimés pour l’être humain.

Cette rébellion n’est pas sans effet pour l’être humain. En effet le questionnaire réalisé lors de l’étude a prouvé que les employés souffraient de cette disparition entrainant une pénurie. Il faudrait donc instaurer des contrôles et des comptages afin d’éviter la disparition des petites cuillères, et par conséquent sauver les employés du mécontentement qu’elle attire.

Vivement l’étude sur la disparition des chaussettes, qui amène les plus braves et sages d’entre nous à la folie furieuse.

La question qui sauve un mariage

Selon une étude scientifique, la bienveillance et la gentillesse permettrait à un mariage de durer longtemps.
C’est en voyant le nombre de mariages puis de divorces, qu’un couple de psychologues, John et Julie Gottman, a décidé de tester des mariés dans leur routine afin de déterminer ce qui fait un bon et un mauvais mariage.

Des divorces et des réussites prévisibles

Pour réaliser cette étude le couple de psychologue a créé un laboratoire de l’amour pour y apporter 130 couples qui y restaient chacun une journée afin d’y faire les taches quotidiennes telles que le repas et le ménage.
En sortant du laboratoire de l’amour les couples étaient divisés en deux groupes : les masters ou les disasters, c’est à dire ceux qui étaient envisagés comme un bon ou comme un mauvais mariage à venir.

En les revoyant six ans plus tard, le couple de psychologue à pu voir que les prévisions étaient bonnes : les masters étaient totalement épanouis dans la vie de couple alors que les disasters étaient divorcés ou malheureux.

L’utilisation de la gentillesse et de la bienveillance pour réussir un mariage

Pour les deux psychologues c’est la présence de gentillesse et de bienveillance dans le couple qui le fait durer de façon positive. Les couples du groupe des masters ne cessaient de s’envoyer des signaux d’admiration et de gratitude.

« Tu connais la dernière » serait l’une des questions permettant à l’un des deux de s’intéresser aux gout de sa moitié afin de préserver la connexion entre eux.
En ne faisant pas attention à l’autre, en ne l’écoutant pas quand il parle, ou en ne se rendant pas compte que ce qu’il dit a de l’importance, le conjoint n’envoie pas seulement des signaux de fatigue ou de manque de temps mais des signaux beaucoup plus négatifs dans le temps.

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Des différences émotionnelles et physiques

En installant des électrodes sur certains couples, pendant le laboratoire de l’amour, les psychologues ont pu se rendre compte que les disasters montrait des éléments de stress physiologiquement égal à une bagarre, alors que les masters montraient uniquement de la passivité.