La « PowerPaste », avenir des scooters électriques ?

Selon une étude scientifique, il semble que l’hydrogène ait un rôle à jouer dans l’avenir du deux roues électrique (scooter, moto, vélo, etc.). Même si l’accident du Zeppelin Hindenburg est encore présent dans les souvenirs, la technologie a énormément progressé, considérant la sécurité comme l’un des facteurs essentiels dans la fabrication du moteur d’un scooter électrique.

L’évolution des batteries des scooters électriques

Côté protection de l’environnement, une évidence s’impose : les chercheurs, scientifiques et autres constructeurs auto et motos envisagent un fonctionnement écologique du moteur des véhicules électriques, en évitant d’utiliser des énergies fossiles telles que l’essence. Le prix de vente augmentant, la France et quelques pays en Europe mettent en place un bonus (euros) ou l’achat à crédit (par exemple les scooters électriques modèle Niu ou Super Soco).

La première étape est franchie en mettant l’électricité au service des moteurs des deux roues (scooters, trottinettes, vélos, motos, gyropodes électriques, etc.). Fournie au départ par des batteries au plomb, sur les scooters électriques dernière génération ce sont des batteries au « lithium-ion » qui alimentent le moteur, assurant des performances de puissance et de vitesse séduisantes, mais tout en étant plus légères, leur autonomie reste insuffisante et le temps de recharge de la batterie trop long.

Voilà pourquoi en Allemagne, au Fraunhofer Institute for Manufacturing Technology and Advanced Materials (IFAM) de Dresde, des chercheurs ont mis au point la « PowerPaste ».

La « PowerPaste », qu’est-ce-que c’est ?

Au début de l’année 2021, l’Institut Allemand (Fraunhofer) dévoile la « PowerPaste » : pâte de couleur grise dont la capacité de stockage de l’énergie sous forme d’hydrogène est supérieure à celle des hydrocarbures, pour un volume et une masse équivalents.

La « PowerPaste » est une pâte qui « embarque » l’hydrogène à température ambiante et sous pression atmosphérique « standard » ; l’hydrogène étant, par la suite, délivré sur demande. La pâte est contenue dans une capsule, injectée dans un circuit conçu spécifiquement, dans lequel elle libère l’hydrogène gazeux au contact de l’eau, générant ainsi une source d’énergie.

Info, la PowerPaste résiste à des températures très élevées et ne se décompose qu’à partir de 250 °C, supprimant les risques liés au stationnement du véhicule électrique en plein soleil.

Sûrs de leur succès et des progrès associés, le Fraunhofer IFAM débute la construction d’une usine qui va produire près de 4 tonnes de PowerPaste les premières années. Le poids de la production s’adaptant par la suite à l’évolution du marché dans l’année. 

L’hydrogène va-t-il supplanter les batteries des moteurs électriques ?

L’usage de cartouches d’hydrogène sur un scooter électrique annule le temps de recharge de la batterie puisqu’il suffit d’échanger la cartouche amovible lorsque la jauge le justifie. 

Au format test, Honda réalise un scooter électrique équipé d’une pile à combustible alimentée par un réservoir à hydrogène et Suzuki fabrique la « Crosscage », une moto à hydrogène. Pourtant aucune de ces deux marques n’a encore réellement misé sur cette technologie pour accroître les ventes de scooters électriques dans l’année qui vient ni même dans les suivantes. 

La PowerPaste est un progrès significatif qui favorise le déploiement de l’usage de l’hydrogène dans le moteur des deux roues électriques en France et en Europe mais pas seulement, elle participe à une certaine émancipation des moteurs électriques face aux batteries et à leur problématique.

L’étude originale :
https://www.fraunhofer.de/content/dam/zv/en/press-media/2021/february-2021/ifam-hydrogen-powered-drives-for-e-scooters.pdf

Quand la réalité virtuelle pousse à la dépression

Selon une étude scientifique, les utilisateurs de réalité virtuelle subissent un effet déprimant en revenant à la réalité.

Une réalité plus vrai que nature

C’est en utilisant régulièrement la réalité virtuelle qu’un artiste allemand s’est rendu compte qu’il se sentait déconnecté de la réalité lorsqu’il sortait de son expérience. En effet, lorsque Tobias van Schneider arrêtait de jouer, le  réel ne lui apparaissait pas comme aussi palpitant que ce qu’il avait pu découvrir via son univers virtuel.

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L’artiste allemand a donné un nom au sentiment de déception et de tristesse qui accompagnait le retour à la réalité, ne permettant pas de laisser de doute sur sa cause : la tristesse post-réalité-virtuelle.

Une étude sur la dissociation

Suite à ces premiers retours quelque peu surprenant, les scientifiques ont décidé de réaliser une étude scientifique sur une trentaine de personne.

D’après ceux-ci, « les résultats indiquent une augmentation de l’expérience dissociative (dépersonnalisation et déréalisation), incluant une sensation de présence dans la réalité objective moins forte, en conséquence d’une exposition à la réalité virtuelle « .

Les premiers résultats montrent aussi que la dissociation est plus élevée chez les personnes présentant déjà un certain degré de dissociation; ils auront beaucoup plus de mal à sortir de l’univers virtuel et pourraient se laisser absorber de façon plus ou moins dangereuse pour leur santé psychologique.

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La réalité virtuelle : une technologie dangereuse ?

D’autres chercheurs allemands ont décidé de pousser plus loin les recherches avec comme principe que la réalité virtuelle pourrait s’avérer dangereuse pour l’utilisateur.

D’après Michael Madary et Thomas Metzinger l’utilisation de casques de réalité pourrait entrainer des symptômes associés au trouble de dépersonnalisation. Les utilisateurs seraient donc incapable de se sentir réel, ou de considérer leur vie comme réelle.

«  Notre inquiétude est que l’immersion à long terme pourrait abîmer les mécanismes neurologiques qui créent le sentiment de la réalité, le sentiment d’être en contact direct avec le monde et avec son propre corps. Les utilisateurs intensifs de la réalité virtuelle pourraient commencer à éprouver le monde réel et leurs corps réels comme manquant de réalité, ce qui ferait basculer leur sens de la réalité exclusivement du côté de l’environnement virtuel.  »

En attendant d’avoir assez de recul, il est surtout important de respecter l’age minimal du joueur : 13 ans. Les enfants présentent une fragilité psychologique qui ne leur permet pas d’accepter le casque de réalité virtuelle sans conséquence.

Les études scientifiques s’auto-contredisent ?

Selon une étude scientifique, les études scientifiques ne seraient pas fiables.

Le serpent qui se mord la queue ?

C’est en formant une équipe de près de 300 chercheurs que des scientifiques ont pu vérifier plusieurs études scientifiques en se servant d’un même protocole et panel.

D’après la publication de l’étude dans la revue Science, les résultats des études scientifiques diffèrent dans plus de 60% des cas. Peu importe la thématique initiale, il semblerait que la course au buzz pousse les chercheurs à réaliser des études scientifiques uniquement appuyée par un nombre de citations élevés.

Le rédacteur en chef de Science a tenu a précisé qu’ «Il est important de noter que ces résultats assez décevants ne remettent pas directement en cause la validité des théories initiales».
En effet, si les résultats ne sont pas contraires, ils démontrent une exagération des chercheurs et par conséquent un résultat appuyé sans preuves tenaces.

Des scientifiques trop confiants

Si de telles études doivent voir le jour pour démontrer le manque de sérieux de certains scientifiques, pour le co-auteur de l’étude Brian Nose, c’est parce que les chercheurs ne se remettent pas assez en question en vérifiant plus fortement leurs hypothèses. Le but premier étant devenu, malheureusement, de créer des résultats si puissants qu’ils seront repris dans les médias.

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Selon Dorothy Bishop, professeur en neuropsychologie à l’université d’Oxford «Cette étude montre que nous avons un problème, mais nous pouvons tenter d’y remédier».
C’est d’ailleurs pour appuyer ses propres dires qu’elle a invité les chercheurs à utiliser des échantillons plus parlants, et à sauvegarder de façon obligatoire et régulière les méthodes d’enquête utilisées avant de publier toutes les données utilisées pour parvenir au résultat final.

En suivant cette méthode, il serait alors possible de reproduire chaque étude scientifique, et d’en tirer des résultats identiques.

Pour l’instant, il n’y a pas besoin d’étude scientifique pour affirmer que près de 90% des chercheurs et scientifiques n’approuvent pas cette remise en question de leur façon de faire, et encore moins les propositions de méthodologie proposées par le professeur Dorothy Bishop.

 

Mr Burns se cache dans le cerveau de chaque patron

Selon une étude scientifique de nombreux chefs d’entreprise possèderaient des points communs avec les psychopathes.

La plupart d’entre-vous parcourront les rues en hurlant « je le savais » suite à cette publication de l’Université de Bond, mais attention toute fois, il s’agit surtout des dirigeants américains !

Antisocial, tu perds ton sang froid

Même si la populations américaines compterait près de 22 % de « patrons psychopathes », la moyenne mondiale est plus basse avec seulement quatre psychopathes pour 100.

Au cours du Congrès annuel de la Société australienne de psychologie, les scientifiques à l’origine de l’étude ont dévoilé leurs résultats.

Les chercheurs Katarine Fritzon, Simon Croom, et le psychologue Nathan Brookes ont démontrés au travers de l’utilisation d’un outils spécialisés dans la reconnaissance des traits psychopathiques que sur 261 chefs d’entreprise, un sur cinq serait psychopathe.

Ce logiciel est développé afin de permettre aux employeurs de déceler les comportements déviants. Peut-être devrait-on plutôt le donner aux employés afin de vérifier la santé mentale de leur patron ?

Autant de psychopathes en prison qu’à la tête d’une entreprise américaine?

Si ce titre ce veut un peu tapageur, il n’est pas faux pour autant. Si un prisonnier sur cinq serait un psychopathe; un patron sur cinq aussi : oups.

Nathan Brookes a précisé à la haine ABC que près de 4% de la population mondiale devrait être considérée comme psychopathe.

Pas d’inquiétude, la plus part des psychopathes seraient regroupés dans des sphères bien précises : on en trouverait beaucoup du côté des financiers, surtout à Wall Street, et dans les postes à faut pouvoir décisionnel.

C’est grâce à ses atouts intellectuels, charismatiques et à son art inné de la manipulation que le psychopathe occupe souvent des postes de direction.
Pour autant, s’ils peuvent faire de bons dirigeants (au sens financier du terme), il ne fait pas bon travailler pour eux : la caractéristique essentielle du psychopathe étant l’absence de remords et d’émotions humaine.

Maintenant, vous pourrez détester votre patron en toute liberté, et envoyer des petits avions de papiers remplis de caricatures de Mr.Burns à vos collègues. Et ce, sans culpabiliser !

 

 

Le point à la fin du texto : un manque de sincérité

Selon une étude scientifique, terminer ses textos par un point est une erreur.
Si la ponctuation est réputée pour être l’ennemi du texto, on ne se doutait pas qu’elle avait une incidence sur l’interprétation du message.

Un point c’est tout.

D’après cette étude scientifique de l’Université de Binghamton, le point serait un signe de ponctuation interprété comme un manque de sincérité évidente quand il apparait dans un SMS ou sur les réseaux sociaux.

C’est en demandant à plus d’une centaine d’étudiant un message avec « oui » et l’autre avec « oui. », que les chercheurs ont pu apprendre que le message sans ponctuation était considéré comme plus sincère par la majorité.

En compliquant le test et en montrant de longs messages avec des réponses brèves avec et sans ponctuation, les chercheurs ont confirmé que le point faisait descendre la notion de sincérité. Le point serait donc l’ennemi du point d’exclamation, qui fait apparaitre une plus grande sincérité d’après une étude scientifique en cours.

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Étrangement, si les mêmes messages sont montrés sur des documents manuscrits, alors il n’y a plus aucune différence d’interprétation faite par les étudiants.

Un vrai coup de point à la notion de ponctuation

Les scientifiques de l’Université de Binghamton, dont Celia Klin, apporte une conclusion sur l’utilisation du point, en indiquant qu’il passait de ponctuation à un vrai marqueur expressif.

Cependant cette étude doit être prise avec des pincettes car elle a été réalisé auprès d’un public déjà réticent à l’utilisation du point, puisque d’après une étude réalisée en 2007, seulement 39% des étudiants américains l’utilisent.

En effet l’étude de 2007 expliquait déjà que le point était perçu par la nouvelle génération comme une réponse agressive, car elle ne permet pas de continuer une discussion, alors que la génération précédente l’utilise encore comme un point tout à fait normal !

Attention à vos fin de phrases…

Surdosage des médicaments pédiatrique : la petite cuillère mise en cause

Selon une étude scientifique, la petite cuillère conduit à des surdosages médicamenteux pour des enfants en bas age.
C’est au travers d’une étude réalisée par la New York University School of Medicine que l’on apprend que la petite cuillère amène les parents à faire des erreurs de dosage. Si ces erreurs sont la plupart du temps sans conséquence, elles peuvent devenir extrêmement dangeureuses avec des médicaments plus puissant.

Des erreurs de dosage fréquentes

Pour faire cette étude, les chercheurs ont demandé à 287 parents de jeunes enfants de donner un sirop pendant deux semaines à leur enfant. Une fois les deux semaines passées, les chercheurs ont questionné les parents sur la façon de doser le médicament, en montrant leur façon de le donner à l’enfant.
Lors de cette étape, les scientifiques ont pu découvrir que 32 % des parents ne connaissent pas vraiment la dose prescrite, 39% font des erreurs sur un dosage qu’ils pensent être le bon, 41% font une erreur de dosage par rapport à la bonne dose et 17% n’utilisent pas le dispositif de dosage donné avec le sirop mais prennent une petite cuillère et font deux fois plus d’erreurs de dosage que les autres.

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La petite cuillère : alliée des parents, ennemie des enfants

Un parent sur six utilise la petite cuillère au lieu de prendre le système homologué fourni avec le médicament. Que ce soit par impression que la petite cuillère sera plus pratique, plus solide, ou tout simplement plus adaptée, les parents se trompent en prenant une petite cuillè352352re quand le médicament est prescrit avec un système adapté. La petite cuillère offre la possibilité de faire des erreurs de dosage fréquentes (deux fois plus qu’avec le système fourni) car elle n’est pas de taille unique et n’a pas la même contenance que la dosette ou la cuillère fournie et marquée. Si les sirops n’ont pas l’air dangereux, le surdosage d’un antibiotique l’est beaucoup plus.

Rangez la petite cuillère, et utilisez celle fournie dans la boite du médicament ! Mais attention à ne pas garder les cuillères et dosettes fournies pour éviter les mélanges avec d’autres médicament et des surdosages qui pourraient être très grave.

Hannibal Lecter, n’est pas un psychopathe, mais vous si !

Selon une équipe scientifique Hannibal Lecter n’est pas un psychopathe.

Enseigner la psychiatrie aux étudiants

D’après une équipe de dix psychiatres et de critiques de cinéma, les films ne reflètent pas la réalité psychiatrique et psychologique des humains.

Cette étude, quelque peu surprenante (angoissante ?) a pour but d’apporter un enseignement fort aux étudiants en prenant en compte la perception des psychopathes au fur et à mesure des années.

Le psychiatre Samuel Leisted nous éclaire sur le besoin de cette étude : «Apprendre à diagnostiquer un psychopathe n’est pas facile, non seulement les définitions et les traits de caractère des psychopathes sont contestés, mais les étudiants ont des chances très limitées d’interviewer des psychopathes.»

Pour obtenir des résultats probants l’équipe scientifique a étudié plus de 126 films, soit une centaine de portraits d’hommes et une vingtaine de femmes.

Un profil cinématographique au plus proche de la réalité du tueur à gage

Dans le film des frères Coen « No country for old men » le personnage d’Anton Chigurl joué par Javier Bardem est au plus près de la réalité du tueur à gage. Facilement reconnaissable à son fusil à pompe à compresseur d’air, Anton Chigurh a toutes les caractéristique du bon psychopathe : froid, intelligent, déculpabilisé, ni anxieux, ni dépressif.

Selon les psychiatres Samuel Leisted et Paul Linkowski, le personnage joué par Anthony Hopkins dans le Silence des Agneaux est très loin du vrai psychopathe. Hannibal Lecter est un personnage possédant une intelligence hors du commun mêlée à une ingéniosité importante qui ne font pas parties des caractéristiques du psychopathe. De plus sa sophistication qui nous plonge encore plus dans l’horreur en tant que spectateur n’est pas du tout représentation d’un vrai psychopathe.

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Un profil encore flou et inabouti du psychopathe

Les psychiatres sont encore très loin de pouvoir comprendre la psychopathie, même s’ils possèdent des pistes solides comme le dysfonctionnement de l’amygdale du cerveau qui troublerait les notions d’émotions, de peur et de violence, en parallèle d’un problème du cortex orbitofrontal qui est connecté à la prise de décision.

Pour l’instant, une liste de caractéristiques a été créée par le docteur William Hirstein et publiée dans la revue Psychology Today. Le psychopathe serait reconnaissable à ses émotions superficielles, son insensibilité, son arrogance et égoïsme, à sa difficulté à préparer le futur et bien sûr à sa violence.

Un nouveau profil a vu le jour ces dernières années, apporté par la folie de wall street : le psychopathe brillant, qui ressemblerait fortement au personnage du Loup de Wall street !

Alors, êtes-vous un psychopathe ? Il est encore temps de consulter !

 

 

La voix de Freddy Mercury, scientifiquement géniale

Selon une étude scientifique le chanteur Freddy Mercury du groupe Queen, aurait une voix de baryton, mais chantait comme un ténor.
Si la voix du chanteur Freddy Mercury fait parler d’elle depuis toujours, avec une rumeur selon laquelle il pouvait l’utiliser sur quatre octaves, il y a de véritables raisons.

Un contrôle unique des cordes vocales

La rumeur concernant les quatre octaves n’a pas pu être vérifiée scientifiquement, mais les chercheurs sont tout de même parvenus à des conclusions non-contradictoires.

L’étude scientifique regroupant des chercheurs européens a pu réaliser une analyse très précise de la voix du chanteur grâce aux enregistrements des concerts, des albums mais aussi des conversations.

Parallèlement à ces enregistrement l’équipe scientifique a pu filmer l’intérieur d’un larynx d’un chanteur de rock tentant d’imiter Freddy Mercury (NDL : c’est impossible !) afin d’en comprendre la technique vocale.

Si pour eux Freddy Mercury avait en fait une voix naturelle se rapprochant plus d’un baryton, il était capable de la transformer et d’en jouer pour chanter comme un ténor.

La sagesse du moine, la grandeur d’un génie musical

Christian Herbst et son équipe scientifique a remarqué que la technique du chanteur était incroyablement poussée et fine, se rapprochant par moment d’une technique utilisée par les moines tibétains.
Loin de la méthode de chant classique, Freddy Mercury utilisait ses bandes ventriculaires pour utiliser son harmonique inférieur. Cette technique associé à un vibrato exceptionnellement rapide et irrégulier en font un génie du rock.

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Un clin d’œil qui lui permet de briller, encore !

Si le chanteur du groupe Queen est décédé bien trop tôt (45 ans), il n’est pas prêt d’être oublié ! Cette année, pour fêter ses 70 ans The international Astromical union’s minor planet center a donné son nom à une astéroide découverte par Henri Debehogne en 1991 (année de son décès).

L' »astéroïde 17473 Freddymercury » serait, selon un professeur d’astrophysique d’Oford, l’astéroïde parfaite pour Freddy Mercury : elle est disposée sur une orbite légèrement elliptique voire un peu excentrique, comme l’était le chanteur !

Brian May, guitariste de Queen a dévolé la nouvelle en ajoutant que ça n’était qu’un point lumineux, mais un point lumineux très spécial qu’ils rejoindront peut-être un jour.

 

 

 

 

Vous gagnez plus que votre mari ? Il est peut-être infidèle

Selon une étude scientifique, les femmes qui gagnent plus que leurs maris sont plus enclines à être trompées.

Les femmes indépendantes, financièrement, sont plus facilement trompées

Le professeur Christin Munsh de l’Université du Connecticut a réalisé une étude mêlant travail, salaire et adultère. Pour obtenir de tels résultats, elle a pris en compte des données relevées sur 2750 hommes mariées entre 18 et 32 ans, et ceux sur dix ans.
Il en ressort que 15% des hommes dépendant financièrement de leur compagne auraient tendance à la tromper, alors que seulement 5% des femmes tromperaient leur mari dans la situation inverse.

La chercheuse américaine explique ce résultat par le sentiment de menace et d’impuissance que développe l’homme dans cette situation. Tromper sa femme lui rendrait sa virilité tout en punissant cette dernière pour lui avoir pris son rôle de pilier au sein du foyer.

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Les femmes dépendantes, financièrement, sont plus facilement trompées.

Ne vous inquiétez pas si vous gagnez plus que votre mari, celui-ci pourrait très bien vous tromper dans le cas inverse aussi.
Et oui, selon cette même étude, si une femme est dépendante de son mari elle tentera de préserver leur relation alors que son conjoint s’en éloignera.

Que l’homme est plus ou moins d’argent que la femme, il aura donc tendance à être infidèle dans les situation extrêmes. Cependant la probabilité que l’homme soit infidèle est moins forte dans le second cas que dans le premier.

Pour trouver l’équilibre, il faut que l’homme gagne 70% des revenus mais pas plus. Car, selon la chercheuse :
« Ces hommes estiment que, puisque leur femme est totalement dépendante de leurs revenus, elles ne les quitteront pas même s’ils la trompent ».
Au dessous de 70%, la confiance de l’homme se rabaisse et il va avoir besoin de se rassurer en ayant une autre femme.

En conclusion, il n’y a pas de règle absolu permettant de trouver une situation idéale pour empêcher l’adultère.

 

 

Si vous êtes stressé, vous êtes sans doute un génie !

Selon une étude scientifique, les personnes stressées seraient tous simplement des génies.

Le stress, agitation excessive du cerveau ?

D’après les chercheurs l’anxiété et le stress seraient dus à l’agitation créée par la créativité et l’intelligence qui peuvent rendre inquiet. Mais cette agitation passe de conséquence à moteur en permettant aux personnes concernées de progresser et de créer.

Cette étude irait donc à l’inverse de la perception habituelle du stress qui gène et empêche d’évoluer. Il est d’ailleurs souvent perçu comme une faiblesse, alors qu’il n’en ai une que lorsque la personne sereine devient anxieuse et rentre en territoire inconnu. Une personne stressée régulièrement sait finalement parfaitement gérer une situation.

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Le docteur Adam Perkins, expert en neurobiologie et science du comportement explique les résultats de l’étude : « Si ça vous arrive d’avoir des pensées automatiques négatives et stressantes, c’est dû à un niveau élevé de spontanéité et d’activité dans votre cortex préfrontal. Il s’agit là de la zone qui gère la perception des menaces et de la conscience. Les gens constamment stressés tombent plus facilement dans la panique à cause d’une réactivité supérieure à la moyenne. En d’autres termes, ça veut aussi dire que vous pouvez ressentir des émotions négatives sans qu’aucune menace ne soit présente. Ici, c’est l’imagination qui travaille. Votre inconscient construit lui-même une situation stressante, alors qu’elle n’existe pas. »

Inventer dans l’anxiété

Historiquement, il est prouvé que les plus grands créatifs sont aussi les plus stressés : Kurt Cobain et Vincent van Gogh, pourtant très différents l’un de l’autre et vivant à une époque différente n’était pas des personnalités enjouées, et avaient beaucoup d’angoisses qu’ils ont su faire ressortir dans leurs œuvres.

On peut aller encore plus loin, si l’on considère que le stress permet le progrès et la création. En créant des problèmes, les anxieux cherchent les solutions qui vont avec, ce qui engendre de belles découvertes telles que les progrès médicaux et l’arrivée de nouveaux systèmes d’énergie.