Les femmes qui boivent beaucoup sont très intelligentes !

Selon une étude scientifique, il y a bien un lien entre la forte consommation d’alcool et l’intelligence.

Plusieurs études mêlant alcool et intelligence

Des chercheurs finlandais ont réalisé une étude sur plus de 3000 jumeaux afin de voir si celui qui apprenait le plus vite à faire des phrases complexes, à parler et à lire, était aussi celui a boire le premier.
Selon cette étude, le vocabulaire et la précocité d’apprentissage font partis des marqueurs d’une grande intelligence sociale.C’est cette intelligence sociale apporte un développement verbal permettant de se lier plus facilement aux autres, et donc de se retrouver facilement en présence d’alcool.

Une autre étude réalisée par Satoshi Kanazawa, tente à expliquer ce rapport entre alcool et intelligence vient de la difficulté pour le cerveau humain à adopter des faits nouveaux. Cette difficulté serait moins élevée chez les personnes avec une intelligence supérieure, ce qui leur permettrait de comprendre l’attrait et la consommation volontaire d’alcool.

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Une nouvelle étude dédiée aux femmes

Maria Huerta et Francesca Borgonovi ont suivi le même chemin, mais en ne s’intéressant qu’aux femmes face à l’alcool.

En étudiant les habitudes de femmes nées en 1970, les chercheuses ont pu voir que les femmes intelligentes boivent plus que les autres.
D’après elles, plus une femme est éduquée, plus elle fait de longues études et a des enfants tard. En suivant ce schéma, une femme peut alors avoir un très bon salaire et une vie sociale importante ce qui lui permettra d’envisager une grande carrière.

Pourquoi boire plus, lorsque l’on est plus éduquée ? Étant donné que ces femmes occupent de hauts postes, elles seraient entourées d’hommes… et il est bien connu que l’alcool est un péché viril, donc elles boivent plus.

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Il y aurait tout de même un hic à se rapport entre l’intelligence et l’alcool, car les femmes pourraient facilement créer une dépendance à l’alcool.
Forcément, si ces études manquent encore de preuves scientifiques, on peut au moins être sûr d’une chose : on a plus de chance de devenir alcoolique en buvant, qu’en ne buvant pas.