Selon une étude scientifique, les manchots auraient des mœurs étranges.
Loin de la jolie photographie du petit manchot blotti bien au chaud contre sa mère et des grosses peluches douces, voilà que l’on découvre que cette espèce a une drôle de vie sexuelle !
Une étude censurée par ses auteurs
George Murray Levick a participé à une expédition de trois ans dans l’antarctique pour étudier la vie sexuelle des manchots, à l’aide de cinq autres scientifiques.
Cette expédition a eu lieu entre 1910 et 1913, mais il a fallut beaucoup de temps pour la publier : celle-ci n’aurait pas pu être acceptée à l’époque, et son auteur (sous le choc de sa découverte) à préféré censurer ses résultats.
L’équipe scientifique avait alors décidé de réaliser un contre-rendu passant les détails : « les mâles se rassemblent en gangs de hooligans d’une demi-douzaine d’individus ou plus et traînent aux alentours des tertres en incommodant les occupants par leurs actes de dépravation répétés ».
Il s’agira de la seule équipe a avoir suivie un cycle complet de reproduction des manchots en Antarctique, dans des conditions extrêmement difficile. C’est sans doute pour cela que les autres scientifiques n’ont pas sorti d’étude abordant cette particularité depuis.
C’est au conservateur du Muséum d’histoire naturelle de Londres que l’on doit la vérité sur cette expédition.
Un drôle d’oiseau ? Pas si marrant que ça, le manchot !
L’équipe de George Murray Levick a découvert que le manchot avait une vie sexuelle très particulière et c’est peu de le dire !
Le manchot serait adepte de la copulation sur les femelles décédées, mais aussi sur les petits poussins qu’ils mangeront par la suite.
Le conservateur du Muséum d’histoire naturelle de Londres explique cette activité sexuelle particulière avec le climat extrêmement difficile qui ne leur permet que quelques semaines de reproduction, l’inquiétude les invitant à passer « la saison des amours » en réalisant une orgie particulièrement dépravée.