Plus d’obésité dans les régions comptant de nombreux McDonalds !

Selon une étude scientifique, plus il y a de McDonalds dans une région, plus le nombre de personnes obèses est élevé.

Un parallèle troublant entre obésité et McDonalds

Cette étude menée par des médecins de l’hôpital Avicenne de Bobigny, a été réalisée en prenant en compte les 45 pays les plus peuplés de chacun des continents et en le comparant à la carte d’implantation des McDonalds.

Afin de s’assurer d’avoir les bons chiffres, l’équipe scientifique s’est basé sur ceux de l’Organisation mondiale de la santé.

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Les résultats démontrent clairement que les régions avec de nombreux restaurants McDonalds sont celles ou l’obésité est la plus prononcée, avec une hausse de plus de 25% avec les régions ou ceux-ci sont moins bien implantés.

Une occidentalisation risquée

D’après le professeur Frédéric Lapostolle qui a co-écrit l’étude publiée dans le Journal of Internal Medicine « MacDonald’s est très fort pour s’adapter aux modifications des habitudes alimentaires et plus globalement aux changements de mode de vie. Dès qu’un pays commence à aller vers une consommation plus occidentale, il y a un MacDo qui s’ouvre « .

Selon cette étude scientifique, la France est l’un des pays les plus touchée, après les États Unis, car elle possède 19 restaurants par millions d’habitants.Si McDonalds sait s’implanter, il n’a pas autant d’impact en Chine ou en Inde.

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Si l’étude dévoile un parallèle important entre l’occidentalisation, l’apparition des McDonalds et l’obésité, elle n’apporte pas de preuve directe entre les restaurants et le surpoids.

 

 

 

Les femmes qui boivent beaucoup sont très intelligentes !

Selon une étude scientifique, il y a bien un lien entre la forte consommation d’alcool et l’intelligence.

Plusieurs études mêlant alcool et intelligence

Des chercheurs finlandais ont réalisé une étude sur plus de 3000 jumeaux afin de voir si celui qui apprenait le plus vite à faire des phrases complexes, à parler et à lire, était aussi celui a boire le premier.
Selon cette étude, le vocabulaire et la précocité d’apprentissage font partis des marqueurs d’une grande intelligence sociale.C’est cette intelligence sociale apporte un développement verbal permettant de se lier plus facilement aux autres, et donc de se retrouver facilement en présence d’alcool.

Une autre étude réalisée par Satoshi Kanazawa, tente à expliquer ce rapport entre alcool et intelligence vient de la difficulté pour le cerveau humain à adopter des faits nouveaux. Cette difficulté serait moins élevée chez les personnes avec une intelligence supérieure, ce qui leur permettrait de comprendre l’attrait et la consommation volontaire d’alcool.

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Une nouvelle étude dédiée aux femmes

Maria Huerta et Francesca Borgonovi ont suivi le même chemin, mais en ne s’intéressant qu’aux femmes face à l’alcool.

En étudiant les habitudes de femmes nées en 1970, les chercheuses ont pu voir que les femmes intelligentes boivent plus que les autres.
D’après elles, plus une femme est éduquée, plus elle fait de longues études et a des enfants tard. En suivant ce schéma, une femme peut alors avoir un très bon salaire et une vie sociale importante ce qui lui permettra d’envisager une grande carrière.

Pourquoi boire plus, lorsque l’on est plus éduquée ? Étant donné que ces femmes occupent de hauts postes, elles seraient entourées d’hommes… et il est bien connu que l’alcool est un péché viril, donc elles boivent plus.

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Il y aurait tout de même un hic à se rapport entre l’intelligence et l’alcool, car les femmes pourraient facilement créer une dépendance à l’alcool.
Forcément, si ces études manquent encore de preuves scientifiques, on peut au moins être sûr d’une chose : on a plus de chance de devenir alcoolique en buvant, qu’en ne buvant pas.

 

 

 

 

 

 

 

Vous souhaitez que votre enfant soit riche plus tard ? Faîtes le lire !

Selon une étude scientifique, un enfant qui aime lire gagnera très bien sa vie.
Enfin, chers parents, il est possible de prévoir l’avenir de son enfant et de le préparer à rentrer dans de grandes écoles ! Comment ? En lui achetant des livres.

Les livres : plus forts que l’école !

Une étude scientifique italienne de l’Université de Padoue, publiée dans le Science Daily, a étudié la bibliothèque de 6000 hommes européens. Ces hommes nés au milieu du 20ème siècle ont été divisé en plusieurs groupes en fonction du nombre de livres qu’ils possédaient.

S’il a été prouvé que faire des études apportait un salaire 9% plus élevé par année scolaire, lire des livres est encore plus important car il augmente le salaire de 21% en moyenne sur une personne possédant de nombreux ouvrages alors qu’il retombe à 5 % chez une personne ayant fait des études sérieuses, mais n’ayant jamais été habitué à lire.

La lecture ; un facteur socio-économique ?

Les scientifiques de l’étude, et les économistes sont en accord avec une étude réalisée en 2013 par l’Université de Stanford qui expliquait le rapport entre le milieu socio-économique d’un enfant et le nombre de mots contenu dans son vocabulaire.

La différence du à l’accès aux livres est encore violente sur les enfants de 18 à 24 mois : les enfants favorisés auraient 260 mots de plus dans leur vocabulaire que les autres.

Le nombre de livres possédés par un foyer serait en corrélation directe avec son milieu socio-économique, créant des enfants avec plus de facilité à trouver un bon emploi permettant une vie aisée que ceux venant d’un milieu plus difficile qui ne les aurait pas habitué à lire.

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Des facteurs comportementaux impactés par la lecture régulière

Si la lecture permet d ‘accéder à de longues études et à un salaire plus important, selon les scientifiques, elle impacterait aussi la santé car elle aurait des vertus empathiques permettant de réduire l’anxiété.

Plus qu’un bon salaire, la lecture permet de faire travailler l’intellect et l’imagination des enfants tout le long de leur croissance.

 

 

 

Vous dormez toujours mal chez les autres ? Vous n’êtes pas seul !

Selon une étude scientifique, notre cerveau nous empêche de bien dormir lorsque l’on change de lieu.

Les chercheurs de l’Université de Brown se sont penchés sur la question du sommeil dans de nouveaux lieux afin de définir si la difficulté à s’endormir est un mythe ou un fait scientifique.

Un vrai fait scientifique !

D’après cette étude scientifique réalisée sur trente-cinq participants endormis, lorsque l’on va dormir dans un nouveau lieu, l’hémisphère gauche du cerveau reste actif durant la nuit, même s’il s’agit d’une belle chambre d’hôtel ou d’une chambre d’amis ou vous vous savez en sécurité.

Dans la revue Current Biology, les chercheurs rapportent qu’ils ont pu voir une asymétrie cérébrale lors de la première nuit, qui n’apparait pas les nuits suivantes. Pour pouvoir surveiller le cerveau, les scientifiques ont fait appel à l’imagerie cérébrale.

Le bout de l’hémisphère gauche qui reste actif est habituellement associé à l’introspection. Les chercheurs ont remarqué que cet hémisphère devenait spécialement actif lors des bruits de la première nuit, mais ne réagissait pas plus que le droit lors de la seconde nuit.

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Une surveillance inconsciente : cerveau en alerte

Chez les animaux, il n’est pas rare de remarquer cette asymétrie cérébrale, leur permettant de survivre en cas de risque pendant leur sommeil. Elle peut leur permettre de continuer instinctivement à faire une action tout en dormant : prendre l’air à la surface chez les dauphins, ou voler pour poursuivre une migration chez les oiseaux.

Si le cerveau humain n’est pas encore apte à dissocier complètement le sommeil d’une action en parallèle, il possède une version primaire afin de se protéger comme le faisait nos ancêtres lorsqu’ils dormaient dans un nouveau lieu, et pouvait se faire attaquer à chaque instant.

Lorsque le danger est réel et non inconscient, l’humain a trouver une autre solution pour pallier au manque d’alerte après une première nuit : dormir à tour de rôle, prévoir des tours de gardes a permis aux soldats de ne pas se faire tuer pendant une attaque nocturne, par exemple.

 

Maigrir en visionnant des films d’horreur

Selon une étude scientifique, regarder des films d’horreur ferait perdre des calories.
Abandonnez le sport, lâchez le guidon, donnez votre jogging et achetez vous Shining de Stanley Kubrick ! D’après les chercheurs de l’Université de Westminster il s’agirait du film faisant perdre le plus de calories.

Les films d’horreur donnent-ils la patate ?

Si les films d’horreur ne peuvent pas vous muscler ou vousfaire faire un peu de cardio, ils vous feront maigrir. C’est déjà pas mal !

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Les scientifiques ont réalisé des test sur des cinéphiles alors qu’ils étaient en plein visionnage. En étudiant le rythme cardiaque, l’apport en oxygène et le dyoxyde de carbone, les chercheurs ont découvert que l’adrénaline lachée par l’apparition de la peur pendant le film permet de bruler plus d’une centaine de calories en 90 minutes (temps moyen d’un film).

Richard Mackenzie, auteur de l’étude, a expliqué : « Chacun des dix films testés provoque une augmentation de la fréquence cardiaque. Comme le pouls s’accélère et que le cœur pompe le sang plus vite, le corps subit une poussée d’adrénaline. C’est cette libération rapide d’adrénaline due à un stress intense (ou dans ce cas, due à la peur), qui réduit l’appétit et permet au final de brûler davantage de calories ». 

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Et si on faisait des soirées films ?

Vous l’aurez compris, après une après-midi apéro et une bonne soirée raclette, improvisez une soirée films d’horreur ! Pour perdre un maximum de calories il faudrait prévoir le visionnage de Shining, Les dents de la mer, ou encore l’Exorciste. Pas la peine de les regarder plusieurs fois, la perte de calories diminuerait !

Seulement attention, si les films d’horreur font maigrir et que les classiques du cinéma sont a découvrir, d’autres études scientifiques ont aussi dévoilé des côtés moins positif en pointant du doigt des changement au niveau du bilan sanguin, ou on montré des points communs entre la propagation du virus zombie et des épidémies humaines.

 

Le porno est dangereux pour le cerveau, à voir avec modération

Selon une étude scientifique, les hommes qui sont adeptes du porno perdent des neurones.

C’est l’Université de Berlin qui a publié cette étude sur le rapport entre le visionnage de pornographie et les neurones, après avoir étudié la taille des structures cérébrales chez des hommes regardant jusqu’à 20 heures de porno par semaine sur le web.

Attention, si certains vont effectivement regarder jusqu’à vingt heures de pornographie, la moyenne reste beaucoup plus basse en frôlant les quatre heures.

Gros consommateurs, petits noyaux !

En étudiant le cerveau des consommateurs de pornographie, les chercheurs Simone Kuhn et Jurgen Gallimat ont découvert une conséquence du visionnage hebdomadaire de scènes pornographies : le noyau caudé, qui s’active habituellement avec la notion de plaisir et l’enregistre pour nous insister à recommander, réduit considérablement.

Pour les chercheurs, ont peut expliquer ce rétrécissement par deux possibilités. La première consistant à accepter que le noyau caudé soit plus petit chez certains individus, les poussant à chercher des stimulations plus fortes pour en arriver à ressentir le même plaisir que les autres.
La seconde possibilité serait que c’est la trop forte stimulation sexuelle qui empêche de retrouver la notion de plaisir en dessous d’un certain seuil. Il faudrait donc apporter au cerveau des images beaucoup plus fortes, pornographiquement parlant, afin de l’éveiller.

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Le noyau de l’addiction et de la désinhibition

Si le noyau caudé permet de recevoir le plaisir et de l’assimiler comme tel, les chercheurs ont aussi découvert qu’il était relié à l’avant de l’encéphale. Cette connexion n’est pas sans conséquence puisqu’elle permet d’ajouter la notion de choix à celle du plaisir, permettant à l’homme de ne pas laisser libre cours à ses pulsions sexuelles si ce n’est pas le bon moment. Grâce à cette connexion, il est donc possible de différencier sa pensée sexuelle du contexte social pour ne pas sauter sur tout ce qui bouge.

Si cette découverte est importante, c’est parce que les gros consommateurs de pornographie ne semblent pas disposer d’une bonne connexion. Il devient plus difficile de faire le bon choix et de se retenir, entrainant une addiction aux images pornographiques de plus en plus forte et incontrôlable.

Une étude incomplète

Si l’étude a pu découvrir un parallèle entre le visionnage d’images pornographiques et des traits cérébrale particuliers, on ne sait pas encore si c’est le visionnage qui entraine un rétrécissement des connexions cérébrales, ou si c’est ce manque de connexion qui entraine une addiction à la pornographique et un désir sexuel nécessitant plus de stimulations.

Si cette question se pose pour les hommes murs, de nombreuses études ont aussi mis en évidence certains troubles sexuels avec le visionnage pornographique chez l’enfant et l’adolescent.

Mieux vaut prévenir que guérir.

 

 

 

 

Plus les singes crient, plus ils en ont des petites

Selon une étude scientifique, chez les singes aussi ce sont ceux qui crient le plus qui en ont une plus petite.

Crie-moi ton nom, je te dirais…

D’après l’étude scientifique réalisée par les chercheurs de l’Université de Cambridge, les singes hurleurs compensent la taille de leurs testicules par la puissance de leurs cordes vocales : plus le singe crie fort, plus elles sont petites.

D’après les auteurs « «Plus l’organe vocal d’un singe hurleur mâle est grand et plus son cri est imposant et grave, plus ses testicules sont petits et moins de sperme ils produisent»
Pour les scientifiques c’est un phénomène tout à fait normal, car les singes s’adaptent au besoin de leur vie sauvage.
Les singes vivant en groupe, mais avec un mâle pour plusieurs femelles doit avoir une grosse voix, mais n’a pas besoin d’avoir des attributs impressionnants, ni beaucoup de sperme. Alors que les singes vivant avec plusieurs autres mâles ont besoin de se reproduire et de séduire avec des organes génitaux bien plus gros et produisant plus de sperme.

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Une sélection sexuelle prédite par Charles Darwin

L’auteur et biologiste de l’étude, Jacob Dunn, explique ce phénomène comme une sélection sexuelle naturelle typiquement décrite et par Darwin : «Chez d’autres animaux, il y a des données qui montrent que les mâles qui ont des corps imposants, des couleurs vives, des cornes ou des longues canines investissent moins dans d’autres traits reproductifs. Mais c’est la première fois qu’on a la preuve qu’une espèce développe une forme de compensation entre investissement vocal et production de sperme.»

Mais alors, si l’homme descend du singe et le singe de l’arbre, quand est-il des organes génitaux et du phénomène de compensation ?

La seule étude scientifique mettant en corrélation la taille des testicules et le comportement humain, fait ressortir que les hommes avec de petits testicules sont de meilleurs pères. Est-ce que ça veut dire qu’ils crient plus fort ?

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Poster ses repas sur instagram fait maigrir

Selon une étude scientifique, si on veut maigrir il faut poster des photos de ses repas sur instagram.

Alors que la mode de l’instafood explose, une étude scientifique annonce que celle-ci pourrait faire maigrir ! C’est sans doute une étude qui fera le bonheur des blogueurs et blogueuses se servant d’instagram, qui souhaite vendre du #pornfood mais aussi suivre la mode du #running et du #fitness !

L’attrait d’esthétisme : coupe-faim naturel

Lorsque l’on va au restaurant avec ses amis, il devient d’usage de sortir son smartphone pour faire la photo tant attendu de son repas, de l’entrée au dessert.
Seulement d’après cette étude scientifique publié dans le Journal of Consumer Psychology, le simple fait de passer plusieurs minutes à choisir l’angle, régler la luminosité, ajouter un filtre, poster le tout avec un hashtag qui marche et une jolie phrase d’accroche, ne nous permettrait pas de profiter de son assiette.

On passerait donc plus de temps à prendre des photos et à les publier qu’à profiter de son moment culinaire !

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Des photos et des cacahouètes

Pour en arriver à de tels résultats, il a fallut tester deux groupes de personnes : le premier groupe devait juger des photographies en donnant une note sur l’envie qu’elles développaient avant de devoir gouter des cacahouètes; le second groupe devait uniquement choisir une photographie avant de gouter les cacahouètes.

Le premier groupe a montré un attrait beaucoup moins important pour les cacahouètes, alors que le second groupe les appréciaient.
En conclusion, plus on passe de temps sur les photographies, moins on a envie de manger, et moins on mange.

Laissez votre smartphone dans votre sac la prochaine fois que vous irez au resto, sauf si vous souhaitez maigrir !

L’astuce régime consisterait donc à commander le plus de plats possible, et à les prendre en photos… testé et approuvé par un bon nombre de portefeuilles, en tout cas.

 

 

 

L’âme sœur : plus facile à trouver IRL que sur Tinder

Selon une étude scientifique, l’algorithme de Tinder n’est pas plus efficace que le hasard !

L’amour, une histoire de hasard

C’est une étude de l’université Northwestern qui remet en cause la réussite des algorithmes utilisés pour les sites de rencontres car ils ne prennent pas en compte les trois points essentiels pour créer une relation sérieuse.

En effet, selon le chercheur Eli Finkel qui est à l’origine de l’étude, il faut regrouper trois critères pour réussir à nouer une relation dans la durée : il faut que la personne corresponde aux caractéritiques individuelles que l’on désire, c’est à dire l’humour, l’intelligence, les passions); il faut aussi que la rencontre se passe bien pour que chacun se montre sous son meilleur jour; et enfin il faut que les conditions extérieures (statut social, origine) conviennent.

L’algorithme de Tinder ne prendrait en compte que les caractéristiques individuelles qui représentent 0.5 % de la réussite du couple. Il serait donc plus efficace de sortir dans la rue et de rencontrer quelqu’un par hasard pour rencontrer le véritable amour.

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Une publicité mensongère

Le chercheur Eli Finkel affirme qu’ «il est pratiquement impossible de réussir à produire ce que la plupart des sites de rencontres promettent», c’est à dire permettre de rencontrer l’âme sœur.

Suite à cette étude scientifique, les chercheurs ont demandé à ce que les autorités pénalisent les applications offrant un service de rencontre avec une promesse de trouver le véritable amour.

Des algorithme extérieurs de plus en plus fou, de moins en moins humain

Si l’algorithme de Tinder est inefficace, il reste basique et nous permet de surfer sur des profil jusqu’à en trouver un qui nous plait, alors que les applications lancées extérieurement sont plus violentes.

Il ne devient plus nécessaire de chercher, « inconditional love » répertorie ce qu’il considère être des profils de jolies filles sans prendre en compte les gout de chacun, mais en permettant de sélectionner quelques préférences basiques. Une autre application remplace totalement l’utilisateur en sélectionnant les profils et en engageant la discussion. Pendant que vous vous faites vos courses, travaillez, regardez un film : vous draguez sans bouger le moindre bout de neurone.

Attention, il faudra quand même se bouger pour aller au rendez-vous, il n’existe pas d’application pour ça. Pas encore, du moins.

 

Les bébés pleurent la nuit pour éviter une grossesse rapprochée !

Selon une étude scientifique, les bébés pleurent la nuit pour fatiguer les parents et éviter un retour de couche.

Des pleurs répertoriés

Jusque là les études divisaient les pleurs de bébé en six raisons tout à fait rationnelles, en se référent à l’échelle de Brazelton: la faim, l’ennui, la douleur, les coliques, les cris de défoulement du soir, et l’inconfort.

Cependant cette nouvelle étude scientifique de l’Université d’Harvard montrerait qu’une septième raison expliquerait les pleurs nocturnes du bébé : l’envie d’épuiser les parents.
David Haig, l’auteur de l’étude, explique que les pleurs nocturnes du nourrisson sont là pour fatiguer nerveusement et physiquement les parents en demandant une attention sans trêve. Ce n’est bien entendu pas par méchanceté que les bébés feraient ceci, mais afin d’éviter une nouvelle grossesse due à un retour de couche.

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Des bébés programmés pour la survie

David Haig, confirme les résultats de son étude, et explique que «la fatigue de la mère peut être considérée comme partie intégrante de la stratégie d’un nourrisson pour prolonger l’écart entre deux naissances (…), les naissances rapprochées sont associées à une augmentation de la mortalité infantile, surtout en milieu modeste ou dans les milieux ou les épidémies sont plus fréquentes».

Siobhan Freegard, créateur d’un réseau parental britannique Netmum, va dans le sens de l’étude en ajoutant qu’ «Espacer les naissances permet à la mère de se remettre de l’accouchement et de rendre plus indépendant son premier enfant, augmentant ainsi ses chances de survie. Cette étude paraît donc plutôt sensée.»

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L’enfant ne veut pas forcément garder l’attention pour lui et épuiser sa mère pour le plaisir, il veut aussi s’assurer de sa propre survie. D’ailleurs, si les bébés allaités au sein demande beaucoup plus après leur mère la nuit, c’est simplement pour que l’aménorrhée dure plus longtemps et assure ainsi l’infertilité jusqu’à la fin de l’allaitement au sein.