Le fromage, nouvelle drogue forte

Selon une étude scientifique, si vous mangez du camembert vous êtes un drogué.
Le fromage est toujours associé à la France, à moins que ça ne soit l’inverse. L’université du Michigan, qui se penche sur le pourquoi des addictions culinaires, nous vient en aide au travers de son étude dévoilant que le fromage n’est pas un mets culturel, mais une véritable drogue.

Un accroc à la tradition

Selon cette étude scientifique publiée dans la revue US National Library of Medicine, si l’on mange autant de fromage, ce n’est pas une question d’amour du produit, mais de chimie ! La protéine de caséine contenu dans les produits laitiers, et donc dans le fromage, se transformerait en casamorphine qui trompe les récepteurs du cerveau en envoyant des messages de dépendance.

C’est donc cette molécule qui provoquerait l’envie et l’addiction, mais si elle se transforme lors de l’ingestion dans le cas du fromage, ce n’est pas le cas pour tous les aliments la contenant.

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Le fromage, drogue artisanale

Si la casamorphine trompe les récepteurs du cerveau c’est parce qu’elle agit comme l’opium, mais aussi comme l’alcool et le tabac.Bien entendu elle ne génère pas les mêmes conséquence sur le cerveau et n’apporte pas de troubles du comportements.

Une étude est lancée afin de découvrir les conséquence d’une absorption importante de la protéine car les chercheurs se demandent si elle ne pourrait pas traverser la pari intestinale et rejoindre le système sanguin pour se faire un chemin jusqu’au cerveau.

Pour l’instant il n’y a eu aucun incident du à l’utilisation excessif de cette drogue, vous pouvez donc continuer à en manger, en modérant légèrement en fonction du besoin pour éviter les problèmes du système cardio-vasculaire.

Il faut savoir que cette étude ne concernait pas que l’addiction au fromage, mais qu’il n’y est pas pour rien pour autant ! La preuve : sur les 500 étudiants testés, la dépendance la plus forte est celle à la pizza… au fromage !

Boire du café diminue le risque de suicide

Selon une étude scientifique, les femmes qui boivent du café sont plus heureuses. Déjà souvent utilisé contre les petits maux de tête et les grosses migraine, la caféine aurait un rôle encore plus important à jouer au sein du cerveau féminin : il pourrait avoir un incidence sur la perception du bonheur et empêcher la femme de déprimer.

Un petit coup de pouce contre la dépression

D’après la BBC, des chercheurs de l’université d’Harvard se seraient penchés sur la consommation de café des femmes, et ses bienfaits. Il semblerait qu’une femme buvant plus de quatre tasses de café chaque jour aurait plus de chance de vivre heureuse qu’une autre.

Cette étude a été réalisé sur un panel de 50 000 femmes pendant 10 ans, dont 2600 ont sombré dans la dépression.

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Le café, booster ou antidépresseur ?

Alors que le café était jusque là reconnu comme un dopant, il agirait donc aussi comme un antidépresseur; ou du moins il baisserait de 20% les risques de dépressions.

Si les scientifiques ne savent pas encore comment expliqué l’action du café, ils ont démontré que le café décaféiné n’avait pas le même impact sur le cerveau : la caféine serait alors à l’origine de l’afflux d’énergie positive empêchant la dépression. Si c’est avéré, il serait sans doute possible de revoir le suivi médicamenteux des patients montrant tous les signes d’une possible dépression ou surmenage.

Le professeur d’épidémiologie et de nutrition à Harvard a déclaré : « La caféine est connue pour affecter la libération de plusieurs neurotransmetteurs, dont la dopamine et la sérotonine, qui sont impliquées dans la régulation de l’humeur et la dépression ».

Cependant, si le café montre un nouvel angle au bonheur, il peut aussi augmenter l’anxiété du consommateur, et doit donc être bu avec modération.

Est-ce que les effets du café varient en fonction de la qualité de celui-ci ? On attend une étude là dessus !

 

 

 

 

https://www.hsph.harvard.edu/news/hsph-in-the-news/coffee-depression-women-ascherio-lucas/

C’est qui-qui-a la plus grosse ? Finalement, la taille compte !

C’est la guerre habituelle entre mâles, il faut absolument savoir qui a la plus grosse, qu’il s’agisse de la voiture, de la maison, de la poitrine de sa femme, et surtout, lorsqu’il s’agit de son pénis.

Mais voilà, alors que l’on entend souvent dire que ça n’est pas une question de taille, voilà qu’une étude scientifique revient les titiller en annonçant que si, la taille compte pour beaucoup.

Un atout anatomique de taille

L’Université Acton, située en Australie ne rigole pas avec la taille des instruments, mais revient quand même sur le fait que l’homme a tendance à voir son sexe beaucoup plus petit qu’il ne l’est, contrairement à ce qu’on pourrait croire.

« Les hommes semblent avoir une image très déformée de la taille que les autres hommes montrent et de ce qu’ils pensent avoir », a expliqué le Dr Veale, psychiatre au King’s College London.

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Peu importe l’avis de l’homme, l’étude ne parle finalement que des femmes qui ont jugé si les corps masculins qu’elles voyaient étaient attirant ou non.

Il semblerait que plus le pénis est gros, plus la femme le trouve séduisant. Cependant il faut que le reste du corps suive, si l’homme est petit et maigre ça change complètement le résultat. De plus, au-dessus d’une certaine taille, les femmes jugeait le corps par d’autres caractéristiques physiques tels que le buste et la musculature.

 

Un petit rappel sur la taille moyenne ?

Une étude scientifique publiée dans le British Journal of Urology International et se basant sur les données de 17 études différentes regroupant les tailles de sexe de 15521 hommes de pays différents, a dévoilé une moyenne de 9,16 cm pour un pénis au repos, et 13,12 cm en érection.

Rassurez-vous, 5 hommes sur 100 ont un pénis plus petit que 10 cm, et 5 autres sur 100 ont un pénis de plus de 16 cm, il y a de forte chance d’être dans la moyenne !

D’ailleurs, le Docteur Veale a estimé que ces résultats pourraient « aider les médecins à rassurer la grande majorité des hommes sur le fait que la taille de leur pénis est dans la fourchette normale ».

Travailler avant 10 heures c’est dangereux pour la santé !

Selon une étude scientifique, travailler avant 10 heures du matin serait néfaste pour la santé.

Cette étude menée par les chercheurs de l’Université d’Oxford concerne uniquement les moins de 55 ans ; il semblerait qu’un adulte perde en performance et en santé mentale lorsqu’il commence avant 10 heures.

Pourquoi travailler avant 10 heures serait-il un danger pour nous ?

Les chercheurs de l’université d’Oxford considèrent que les horaires habituels ne sont pas calés sur le rythme circadien (ce qu’on appelle l’horloge biologique), ce qui déstabiliserait l’ensemble de notre corps et de notre esprit.

Le Docteur Kelley, qui a mené cette étude, s’explique : « Vous ne pouvez pas vous forcer à vous réveiller à une certaine heure. Notre organisme est conçu pour répondre aux stimuli naturels, comme le lever et le coucher du Soleil, et vous n’en êtes pas conscients car cela se passe de manière automatique, via une glande appelée hypothalamus. »

De plus, il a déjà été prouvé qu’un manque de sommeil entrainait de l’anxiété, une prise de poids, et divers autres soucis de santé, comme le confirme le Docteur Kelley : « Un grand nombre de problèmes sociétaux majeurs, comme le stress ou le burn-out, sont liés au manque de sommeil. Nous avons maintenant une occasion unique de faire quelque chose qui pourrait améliorer la qualité de vie de millions de personnes sur Terre. »

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Des tests réalisés dans les écoles de Newcastle, encore en cours

Les chercheurs de l’université d’Oxford ont mis en place une expérience en temps réel dans un lycée de Newcastle. Les élèves y commencent donc à 10 heures afin de démontrer qu’ils pourraient ainsi atteindre une moyenne 10% plus élevée qu’avant, avec un simple décalage d’horaire.

Cette première expérience, mise en place depuis plus d’un an montre déjà un résultat au delà des prévisions avec une augmentation des moyennes de 19%.

Cette expérience a été renouvelée sur une plus grande échelle afin de vérifier son efficacité, avec l’accord du Ministère de l’éducation de Sa Majesté. Elle touchera 30 000 élèves et une centaine d’écoles du Royaume Uni pendant quatre ans.

Une avancée vers la grasse matinée rêvée et attendue par beaucoup de travailleurs pourrait voir le jour en 2018 !