La peur des serpents n’existe pas chez le bébé

Selon une étude scientifique, les bébés sont moins peureux que bear grills.
Contrairement à la majeure partie des personnes qui craignent la rencontre avec un serpent, qu’il s’agisse d’une photo, d’une vidéo ou de la réalité; le bébé n’éprouverait pas de peur devant un serpent. Cette étude remet en question l’idée d’une peur innée présente qui agirait comme une alarme pour nous avertir et nous protéger du danger.

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Une peur inexistante à la naissance

La spécialiste en recherche sur la peur à l’Université de Virginie, Judy Deloache, a décidé d’étudier l’une des peurs les plus marquantes dans la population actuelle. Pour découvrir si cette crainte était innée afin de nous protéger ou si elle était acquise culturellement, elle a réalisé des tests en mettant des bébés face aux serpents.

Si les bébés sont plus facilement attirés par les êtres vivants que les objets inanimés, il aurait paru évident qu’ils décident d’éviter le serpent s’il s’agissait d’une peur développé inconsciemment pour éviter la rencontre mortelle; seulement les bébés ont tous été attirés par les serpents ou les araignées et ont délaissé les peluches pour pouvoir les approcher.

Non seulement le bébé ne ressentirai pas de peur, mais il serait même attiré par l’aspect et les mouvement du serpent, et ferait de même dans le cas d’une araignée.

Une peur acquise rapidement

Des tests ont ensuite été réalisé sur des enfants de 11 mois. Contrairement aux tests sur les bébés, ceux-ci dévoilent que les enfants à peine plus vieux associent déjà des voix et images montrant la peur face aux serpents, plutôt que celles montrant la joie ou la surprise.
L’enfant apprend donc à avoir peur du serpent rapidement, sachant qu’ils détectent plus rapidement les serpents sur une photo que les autres animaux.

Attention, cette étude est encore à prendre avec des pincettes concernant les tests sur les enfants de 11 mois. A cette age là, il est encore difficile pour l’enfant d’exprimer son ressenti, il peut y avoir une mauvaise interprétation de son choix sur les images montrant des émotions.

Le football américain est dangereux pour les neurones

Selon une étude scientifique, les sports de contact endommagerait l’activité cérébrale.
Cette inquiétante étude, réalisée par le docteur Adam Hampshire et son équipe, a été publié dans la revue Nature.

Des blessures physiques, des cicatrices cérébrales

Pour connaitre les conséquences du sport de contact sur le cerveau le scientifique Adam Hampshire a étudié de près un groupe de 13 joueurs retraités en parallèle d’un groupe de 60 volontaires sans souci de santé.

Sur un test très simple consistant à ranger des balles de couleurs dans des tuyaux dans un certain ordre, une différence de taille est apparu entre le groupe de volontaires et les anciens joueurs.
L’imagerie a démontré des troubles cérébraux comme l’explique Adam Hampshire :  » des dysfonctionnements au niveau du lobe frontal du cerveau en corrélation avec le nombre blessures subies par les joueurs retraités. (…) Le joueur de football retraité est plus exposé à subir des anomalies neurologiques. Mais il est vraisemblable que dans des situations plus complexes, la plasticité du cerveau n’est plus suffisante pour compenser, et que dès lors le handicap devient apparent« .

Si ce premier test est déjà probant, l’étude doit être poursuivie afin de connaitre les conséquences des chocs sur le cerveau sur une plus longue période.

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Cap ou pas cap de faire une tête ?

Si les chocs brutaux sont mis en cause, le neurologue parisien Jean-François Chermann aborde le problème des défenseurs qui réalisent beaucoup de jeu de tête : « ce sont les commotions cérébrales qui peuvent avoir été responsables de ces dysfonctionnement. Il faut rappeler qu’une étude comparable avait été effectuée sur des joueurs de football professionnels hollandais. Les défenseurs, notamment, qui multiplient le jeu de tête durant un match, présentaient les mêmes dysfonctionnements du lobe frontal. Avec, par exemple, des troubles de la mémoire. « 

Si c’est ce même médecin qui a créé un protocole médical pour la pratique du rugby, il n’hésite pas à rappeler pourquoi il est intéressant d’apprendre les conséquences des coups qui rendent le jeu spectaculaire : « « Jusqu’ici, la plupart des études étaient effectuées post-mortem. On a étudié des cerveaux de joueurs de foot US, de hockey et on sait que, très probablement, quand on prend des coups sur la tête, ça peut entraîner une encéphalopathie chronique post-traumatique, autrement dit, ce qu’on appelle démence pugilistique. Avec des troubles de la vision, des pertes de mémoire, la maladie de Parkinson, des dépressions… « 

 

 

 

 

Manger au Mac Do mettrait notre mémoire en péril

Selon une étude scientifique, manger chez le géant du fastfood serait risqué pour la mémoire.

Si on ne se posait plus la question entre la prise de poids et les chaines de fastfood, on n’imaginait pas pouvoir créer un rapport entre la mémoire et la mal-bouffe. Et pourtant !

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Mickey a t-il une mémoire d’éléphant ?

C’est au travers d’une étude scientifique réalisée sur des petites souris génétiquement modifiées que les chercheurs de l’Institut de Stockholm ont pu déterminer que manger une alimentation type fastfood participait à déclarer la maladie d’Alzheimer.

D’après les chercheurs de l’Institut Karolinska, c’est le surplus de graisse et de sucre qui créerait une réaction au niveau cérébral. Cette même réaction est visible chez les patients atteints de la maladie d’Alzheimer.

Après avoir entrevue cette analogie cérébrale, les chercheurs se sont forcément posés la question de la causalité : est-ce qu’il est possible que la nourriture du McDo, KFC, BurgerKing ou encore Quick peut faire intervenir des pertes de mémoires importantes ? Va-t-on devoir arrêter de se moquer de sa petite mamie chérie et de sa mémoire peut-être perdue à cause des petits déjeuner chez McDo ?

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Le BigMac mangeur de neurones

Les chercheurs ont démontré que la réaction cérébrale était due à une augmentation de phosphates dans le corps. Celui-ci ne permettant plus aux cellules d’évoluer normalement, surtout associées à une mauvaise alimentation créant une baisse de la protéine habituellement à l’origine de la bonne mémoire.

Une question importante reste en suspense : est-il plus pertinent de boire ou de manger pour oublier ?

 

 

 

 

 

Les études scientifiques s’auto-contredisent ?

Selon une étude scientifique, les études scientifiques ne seraient pas fiables.

Le serpent qui se mord la queue ?

C’est en formant une équipe de près de 300 chercheurs que des scientifiques ont pu vérifier plusieurs études scientifiques en se servant d’un même protocole et panel.

D’après la publication de l’étude dans la revue Science, les résultats des études scientifiques diffèrent dans plus de 60% des cas. Peu importe la thématique initiale, il semblerait que la course au buzz pousse les chercheurs à réaliser des études scientifiques uniquement appuyée par un nombre de citations élevés.

Le rédacteur en chef de Science a tenu a précisé qu’ «Il est important de noter que ces résultats assez décevants ne remettent pas directement en cause la validité des théories initiales».
En effet, si les résultats ne sont pas contraires, ils démontrent une exagération des chercheurs et par conséquent un résultat appuyé sans preuves tenaces.

Des scientifiques trop confiants

Si de telles études doivent voir le jour pour démontrer le manque de sérieux de certains scientifiques, pour le co-auteur de l’étude Brian Nose, c’est parce que les chercheurs ne se remettent pas assez en question en vérifiant plus fortement leurs hypothèses. Le but premier étant devenu, malheureusement, de créer des résultats si puissants qu’ils seront repris dans les médias.

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Selon Dorothy Bishop, professeur en neuropsychologie à l’université d’Oxford «Cette étude montre que nous avons un problème, mais nous pouvons tenter d’y remédier».
C’est d’ailleurs pour appuyer ses propres dires qu’elle a invité les chercheurs à utiliser des échantillons plus parlants, et à sauvegarder de façon obligatoire et régulière les méthodes d’enquête utilisées avant de publier toutes les données utilisées pour parvenir au résultat final.

En suivant cette méthode, il serait alors possible de reproduire chaque étude scientifique, et d’en tirer des résultats identiques.

Pour l’instant, il n’y a pas besoin d’étude scientifique pour affirmer que près de 90% des chercheurs et scientifiques n’approuvent pas cette remise en question de leur façon de faire, et encore moins les propositions de méthodologie proposées par le professeur Dorothy Bishop.

 

Mr Burns se cache dans le cerveau de chaque patron

Selon une étude scientifique de nombreux chefs d’entreprise possèderaient des points communs avec les psychopathes.

La plupart d’entre-vous parcourront les rues en hurlant « je le savais » suite à cette publication de l’Université de Bond, mais attention toute fois, il s’agit surtout des dirigeants américains !

Antisocial, tu perds ton sang froid

Même si la populations américaines compterait près de 22 % de « patrons psychopathes », la moyenne mondiale est plus basse avec seulement quatre psychopathes pour 100.

Au cours du Congrès annuel de la Société australienne de psychologie, les scientifiques à l’origine de l’étude ont dévoilé leurs résultats.

Les chercheurs Katarine Fritzon, Simon Croom, et le psychologue Nathan Brookes ont démontrés au travers de l’utilisation d’un outils spécialisés dans la reconnaissance des traits psychopathiques que sur 261 chefs d’entreprise, un sur cinq serait psychopathe.

Ce logiciel est développé afin de permettre aux employeurs de déceler les comportements déviants. Peut-être devrait-on plutôt le donner aux employés afin de vérifier la santé mentale de leur patron ?

Autant de psychopathes en prison qu’à la tête d’une entreprise américaine?

Si ce titre ce veut un peu tapageur, il n’est pas faux pour autant. Si un prisonnier sur cinq serait un psychopathe; un patron sur cinq aussi : oups.

Nathan Brookes a précisé à la haine ABC que près de 4% de la population mondiale devrait être considérée comme psychopathe.

Pas d’inquiétude, la plus part des psychopathes seraient regroupés dans des sphères bien précises : on en trouverait beaucoup du côté des financiers, surtout à Wall Street, et dans les postes à faut pouvoir décisionnel.

C’est grâce à ses atouts intellectuels, charismatiques et à son art inné de la manipulation que le psychopathe occupe souvent des postes de direction.
Pour autant, s’ils peuvent faire de bons dirigeants (au sens financier du terme), il ne fait pas bon travailler pour eux : la caractéristique essentielle du psychopathe étant l’absence de remords et d’émotions humaine.

Maintenant, vous pourrez détester votre patron en toute liberté, et envoyer des petits avions de papiers remplis de caricatures de Mr.Burns à vos collègues. Et ce, sans culpabiliser !

 

 

Trompez votre moitié, offrez lui un bel avenir !

Selon une étude scientifique, les femmes trompées auraient de fortes chances de réussir ensuite.

Un éléphant, ça trompe énormément

Cette étude un peu étrange a été réalisée par le Docteur Craig Eric Morris de l’Université de Binghamton à New York, qui explique sa théorie par la pause forcée que prennent les femmes suite à une tromperie : « Souvent les femmes trompées font un break. Elles ne veulent plus, pendant un temps, de relation amoureuse. Et cette pause, même si ça ressemble à une défaite, a des effets positifs. ».

Selon le scientifique, il est évident que la personne à l’origine de la séparation se remettra plus rapidement de cet état de fait que celle qui subit, cependant dans tous les cas c’est finalement l’amant ou la maitresse qui perdra le plus dans l’histoire.

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Un éléphant se trompe énormément, finalement

L’étude publiée dans l’Evolutionary Behavior Sciences démontre que si la personne trompée souffre dans un premier temps, elle s’en sort mieux que l’amant ou la maitresse. En effet si la relation sexuelle, et par conséquent passionnée, est de prime abord gagnante, elle n’est pas une source sure d’avenir.

Cette étude réalisée sur plus de 5000 personnes de pays différents, rassurera les femmes trompées, qui peuvent maintenant connaitre leur avenir, qui sera largement plus chanceux que celui de ceux qui l’ont mis dans cette situation.

« Dans l’évolution, la promiscuité sexuelle est souvent une stratégie à court terme. Pendant un bref instant, la femme a gagné bataille. Mais au final, elle va probablement perdre la guerre. Sa réputation va être endommagée, et cela va réduire sa capacité à acquérir un compagnon de bonne qualité et avec lequel elle va vivre une longue relation. »

La source du bonheur ne se trouverait donc pas au milieu de l’herbe « plus verte » du voisin, ou de la voisine ? Haut les cœurs, et bas les pattes !