Si vous êtes stressé, vous êtes sans doute un génie !

Selon une étude scientifique, les personnes stressées seraient tous simplement des génies.

Le stress, agitation excessive du cerveau ?

D’après les chercheurs l’anxiété et le stress seraient dus à l’agitation créée par la créativité et l’intelligence qui peuvent rendre inquiet. Mais cette agitation passe de conséquence à moteur en permettant aux personnes concernées de progresser et de créer.

Cette étude irait donc à l’inverse de la perception habituelle du stress qui gène et empêche d’évoluer. Il est d’ailleurs souvent perçu comme une faiblesse, alors qu’il n’en ai une que lorsque la personne sereine devient anxieuse et rentre en territoire inconnu. Une personne stressée régulièrement sait finalement parfaitement gérer une situation.

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Le docteur Adam Perkins, expert en neurobiologie et science du comportement explique les résultats de l’étude : « Si ça vous arrive d’avoir des pensées automatiques négatives et stressantes, c’est dû à un niveau élevé de spontanéité et d’activité dans votre cortex préfrontal. Il s’agit là de la zone qui gère la perception des menaces et de la conscience. Les gens constamment stressés tombent plus facilement dans la panique à cause d’une réactivité supérieure à la moyenne. En d’autres termes, ça veut aussi dire que vous pouvez ressentir des émotions négatives sans qu’aucune menace ne soit présente. Ici, c’est l’imagination qui travaille. Votre inconscient construit lui-même une situation stressante, alors qu’elle n’existe pas. »

Inventer dans l’anxiété

Historiquement, il est prouvé que les plus grands créatifs sont aussi les plus stressés : Kurt Cobain et Vincent van Gogh, pourtant très différents l’un de l’autre et vivant à une époque différente n’était pas des personnalités enjouées, et avaient beaucoup d’angoisses qu’ils ont su faire ressortir dans leurs œuvres.

On peut aller encore plus loin, si l’on considère que le stress permet le progrès et la création. En créant des problèmes, les anxieux cherchent les solutions qui vont avec, ce qui engendre de belles découvertes telles que les progrès médicaux et l’arrivée de nouveaux systèmes d’énergie.

Les femmes qui boivent beaucoup sont très intelligentes !

Selon une étude scientifique, il y a bien un lien entre la forte consommation d’alcool et l’intelligence.

Plusieurs études mêlant alcool et intelligence

Des chercheurs finlandais ont réalisé une étude sur plus de 3000 jumeaux afin de voir si celui qui apprenait le plus vite à faire des phrases complexes, à parler et à lire, était aussi celui a boire le premier.
Selon cette étude, le vocabulaire et la précocité d’apprentissage font partis des marqueurs d’une grande intelligence sociale.C’est cette intelligence sociale apporte un développement verbal permettant de se lier plus facilement aux autres, et donc de se retrouver facilement en présence d’alcool.

Une autre étude réalisée par Satoshi Kanazawa, tente à expliquer ce rapport entre alcool et intelligence vient de la difficulté pour le cerveau humain à adopter des faits nouveaux. Cette difficulté serait moins élevée chez les personnes avec une intelligence supérieure, ce qui leur permettrait de comprendre l’attrait et la consommation volontaire d’alcool.

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Une nouvelle étude dédiée aux femmes

Maria Huerta et Francesca Borgonovi ont suivi le même chemin, mais en ne s’intéressant qu’aux femmes face à l’alcool.

En étudiant les habitudes de femmes nées en 1970, les chercheuses ont pu voir que les femmes intelligentes boivent plus que les autres.
D’après elles, plus une femme est éduquée, plus elle fait de longues études et a des enfants tard. En suivant ce schéma, une femme peut alors avoir un très bon salaire et une vie sociale importante ce qui lui permettra d’envisager une grande carrière.

Pourquoi boire plus, lorsque l’on est plus éduquée ? Étant donné que ces femmes occupent de hauts postes, elles seraient entourées d’hommes… et il est bien connu que l’alcool est un péché viril, donc elles boivent plus.

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Il y aurait tout de même un hic à se rapport entre l’intelligence et l’alcool, car les femmes pourraient facilement créer une dépendance à l’alcool.
Forcément, si ces études manquent encore de preuves scientifiques, on peut au moins être sûr d’une chose : on a plus de chance de devenir alcoolique en buvant, qu’en ne buvant pas.

 

 

 

 

 

 

 

Vous dormez toujours mal chez les autres ? Vous n’êtes pas seul !

Selon une étude scientifique, notre cerveau nous empêche de bien dormir lorsque l’on change de lieu.

Les chercheurs de l’Université de Brown se sont penchés sur la question du sommeil dans de nouveaux lieux afin de définir si la difficulté à s’endormir est un mythe ou un fait scientifique.

Un vrai fait scientifique !

D’après cette étude scientifique réalisée sur trente-cinq participants endormis, lorsque l’on va dormir dans un nouveau lieu, l’hémisphère gauche du cerveau reste actif durant la nuit, même s’il s’agit d’une belle chambre d’hôtel ou d’une chambre d’amis ou vous vous savez en sécurité.

Dans la revue Current Biology, les chercheurs rapportent qu’ils ont pu voir une asymétrie cérébrale lors de la première nuit, qui n’apparait pas les nuits suivantes. Pour pouvoir surveiller le cerveau, les scientifiques ont fait appel à l’imagerie cérébrale.

Le bout de l’hémisphère gauche qui reste actif est habituellement associé à l’introspection. Les chercheurs ont remarqué que cet hémisphère devenait spécialement actif lors des bruits de la première nuit, mais ne réagissait pas plus que le droit lors de la seconde nuit.

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Une surveillance inconsciente : cerveau en alerte

Chez les animaux, il n’est pas rare de remarquer cette asymétrie cérébrale, leur permettant de survivre en cas de risque pendant leur sommeil. Elle peut leur permettre de continuer instinctivement à faire une action tout en dormant : prendre l’air à la surface chez les dauphins, ou voler pour poursuivre une migration chez les oiseaux.

Si le cerveau humain n’est pas encore apte à dissocier complètement le sommeil d’une action en parallèle, il possède une version primaire afin de se protéger comme le faisait nos ancêtres lorsqu’ils dormaient dans un nouveau lieu, et pouvait se faire attaquer à chaque instant.

Lorsque le danger est réel et non inconscient, l’humain a trouver une autre solution pour pallier au manque d’alerte après une première nuit : dormir à tour de rôle, prévoir des tours de gardes a permis aux soldats de ne pas se faire tuer pendant une attaque nocturne, par exemple.

 

Maigrir en visionnant des films d’horreur

Selon une étude scientifique, regarder des films d’horreur ferait perdre des calories.
Abandonnez le sport, lâchez le guidon, donnez votre jogging et achetez vous Shining de Stanley Kubrick ! D’après les chercheurs de l’Université de Westminster il s’agirait du film faisant perdre le plus de calories.

Les films d’horreur donnent-ils la patate ?

Si les films d’horreur ne peuvent pas vous muscler ou vousfaire faire un peu de cardio, ils vous feront maigrir. C’est déjà pas mal !

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Les scientifiques ont réalisé des test sur des cinéphiles alors qu’ils étaient en plein visionnage. En étudiant le rythme cardiaque, l’apport en oxygène et le dyoxyde de carbone, les chercheurs ont découvert que l’adrénaline lachée par l’apparition de la peur pendant le film permet de bruler plus d’une centaine de calories en 90 minutes (temps moyen d’un film).

Richard Mackenzie, auteur de l’étude, a expliqué : « Chacun des dix films testés provoque une augmentation de la fréquence cardiaque. Comme le pouls s’accélère et que le cœur pompe le sang plus vite, le corps subit une poussée d’adrénaline. C’est cette libération rapide d’adrénaline due à un stress intense (ou dans ce cas, due à la peur), qui réduit l’appétit et permet au final de brûler davantage de calories ». 

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Et si on faisait des soirées films ?

Vous l’aurez compris, après une après-midi apéro et une bonne soirée raclette, improvisez une soirée films d’horreur ! Pour perdre un maximum de calories il faudrait prévoir le visionnage de Shining, Les dents de la mer, ou encore l’Exorciste. Pas la peine de les regarder plusieurs fois, la perte de calories diminuerait !

Seulement attention, si les films d’horreur font maigrir et que les classiques du cinéma sont a découvrir, d’autres études scientifiques ont aussi dévoilé des côtés moins positif en pointant du doigt des changement au niveau du bilan sanguin, ou on montré des points communs entre la propagation du virus zombie et des épidémies humaines.

 

Le porno est dangereux pour le cerveau, à voir avec modération

Selon une étude scientifique, les hommes qui sont adeptes du porno perdent des neurones.

C’est l’Université de Berlin qui a publié cette étude sur le rapport entre le visionnage de pornographie et les neurones, après avoir étudié la taille des structures cérébrales chez des hommes regardant jusqu’à 20 heures de porno par semaine sur le web.

Attention, si certains vont effectivement regarder jusqu’à vingt heures de pornographie, la moyenne reste beaucoup plus basse en frôlant les quatre heures.

Gros consommateurs, petits noyaux !

En étudiant le cerveau des consommateurs de pornographie, les chercheurs Simone Kuhn et Jurgen Gallimat ont découvert une conséquence du visionnage hebdomadaire de scènes pornographies : le noyau caudé, qui s’active habituellement avec la notion de plaisir et l’enregistre pour nous insister à recommander, réduit considérablement.

Pour les chercheurs, ont peut expliquer ce rétrécissement par deux possibilités. La première consistant à accepter que le noyau caudé soit plus petit chez certains individus, les poussant à chercher des stimulations plus fortes pour en arriver à ressentir le même plaisir que les autres.
La seconde possibilité serait que c’est la trop forte stimulation sexuelle qui empêche de retrouver la notion de plaisir en dessous d’un certain seuil. Il faudrait donc apporter au cerveau des images beaucoup plus fortes, pornographiquement parlant, afin de l’éveiller.

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Le noyau de l’addiction et de la désinhibition

Si le noyau caudé permet de recevoir le plaisir et de l’assimiler comme tel, les chercheurs ont aussi découvert qu’il était relié à l’avant de l’encéphale. Cette connexion n’est pas sans conséquence puisqu’elle permet d’ajouter la notion de choix à celle du plaisir, permettant à l’homme de ne pas laisser libre cours à ses pulsions sexuelles si ce n’est pas le bon moment. Grâce à cette connexion, il est donc possible de différencier sa pensée sexuelle du contexte social pour ne pas sauter sur tout ce qui bouge.

Si cette découverte est importante, c’est parce que les gros consommateurs de pornographie ne semblent pas disposer d’une bonne connexion. Il devient plus difficile de faire le bon choix et de se retenir, entrainant une addiction aux images pornographiques de plus en plus forte et incontrôlable.

Une étude incomplète

Si l’étude a pu découvrir un parallèle entre le visionnage d’images pornographiques et des traits cérébrale particuliers, on ne sait pas encore si c’est le visionnage qui entraine un rétrécissement des connexions cérébrales, ou si c’est ce manque de connexion qui entraine une addiction à la pornographique et un désir sexuel nécessitant plus de stimulations.

Si cette question se pose pour les hommes murs, de nombreuses études ont aussi mis en évidence certains troubles sexuels avec le visionnage pornographique chez l’enfant et l’adolescent.

Mieux vaut prévenir que guérir.

 

 

 

 

Le fromage, nouvelle drogue forte

Selon une étude scientifique, si vous mangez du camembert vous êtes un drogué.
Le fromage est toujours associé à la France, à moins que ça ne soit l’inverse. L’université du Michigan, qui se penche sur le pourquoi des addictions culinaires, nous vient en aide au travers de son étude dévoilant que le fromage n’est pas un mets culturel, mais une véritable drogue.

Un accroc à la tradition

Selon cette étude scientifique publiée dans la revue US National Library of Medicine, si l’on mange autant de fromage, ce n’est pas une question d’amour du produit, mais de chimie ! La protéine de caséine contenu dans les produits laitiers, et donc dans le fromage, se transformerait en casamorphine qui trompe les récepteurs du cerveau en envoyant des messages de dépendance.

C’est donc cette molécule qui provoquerait l’envie et l’addiction, mais si elle se transforme lors de l’ingestion dans le cas du fromage, ce n’est pas le cas pour tous les aliments la contenant.

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Le fromage, drogue artisanale

Si la casamorphine trompe les récepteurs du cerveau c’est parce qu’elle agit comme l’opium, mais aussi comme l’alcool et le tabac.Bien entendu elle ne génère pas les mêmes conséquence sur le cerveau et n’apporte pas de troubles du comportements.

Une étude est lancée afin de découvrir les conséquence d’une absorption importante de la protéine car les chercheurs se demandent si elle ne pourrait pas traverser la pari intestinale et rejoindre le système sanguin pour se faire un chemin jusqu’au cerveau.

Pour l’instant il n’y a eu aucun incident du à l’utilisation excessif de cette drogue, vous pouvez donc continuer à en manger, en modérant légèrement en fonction du besoin pour éviter les problèmes du système cardio-vasculaire.

Il faut savoir que cette étude ne concernait pas que l’addiction au fromage, mais qu’il n’y est pas pour rien pour autant ! La preuve : sur les 500 étudiants testés, la dépendance la plus forte est celle à la pizza… au fromage !

Boire du café diminue le risque de suicide

Selon une étude scientifique, les femmes qui boivent du café sont plus heureuses. Déjà souvent utilisé contre les petits maux de tête et les grosses migraine, la caféine aurait un rôle encore plus important à jouer au sein du cerveau féminin : il pourrait avoir un incidence sur la perception du bonheur et empêcher la femme de déprimer.

Un petit coup de pouce contre la dépression

D’après la BBC, des chercheurs de l’université d’Harvard se seraient penchés sur la consommation de café des femmes, et ses bienfaits. Il semblerait qu’une femme buvant plus de quatre tasses de café chaque jour aurait plus de chance de vivre heureuse qu’une autre.

Cette étude a été réalisé sur un panel de 50 000 femmes pendant 10 ans, dont 2600 ont sombré dans la dépression.

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Le café, booster ou antidépresseur ?

Alors que le café était jusque là reconnu comme un dopant, il agirait donc aussi comme un antidépresseur; ou du moins il baisserait de 20% les risques de dépressions.

Si les scientifiques ne savent pas encore comment expliqué l’action du café, ils ont démontré que le café décaféiné n’avait pas le même impact sur le cerveau : la caféine serait alors à l’origine de l’afflux d’énergie positive empêchant la dépression. Si c’est avéré, il serait sans doute possible de revoir le suivi médicamenteux des patients montrant tous les signes d’une possible dépression ou surmenage.

Le professeur d’épidémiologie et de nutrition à Harvard a déclaré : « La caféine est connue pour affecter la libération de plusieurs neurotransmetteurs, dont la dopamine et la sérotonine, qui sont impliquées dans la régulation de l’humeur et la dépression ».

Cependant, si le café montre un nouvel angle au bonheur, il peut aussi augmenter l’anxiété du consommateur, et doit donc être bu avec modération.

Est-ce que les effets du café varient en fonction de la qualité de celui-ci ? On attend une étude là dessus !

 

 

 

 

https://www.hsph.harvard.edu/news/hsph-in-the-news/coffee-depression-women-ascherio-lucas/