Est-ce que les blondes sont réellement idiotes ?

Selon une étude scientifique, le poncif de la blonde débile est faux : il s’agit d’un stéréotype apporté par le cinéma. En effet la belle femme blonde et niaise qu’il faut sauver à tout prix est un produit des films hollywoodiens. Malheureusement il est devenu commun d’en faire des blagues à la machine à café au boulot, voire d’en vendre de nombreux recueils en librairie : la blonde est officiellement devenu le point central de la bêtise.

Une équipe scientifique s’est penché sur la question du cliché et a découvert que les femmes blondes ne sont pas moins intelligentes que les autres, voire plus intelligente que les brunes, qui compteraient finalement peut-être pour des prunes

Une étude basée sur un gros programme américain

C’est au travers du programme National Longitudinal surveys commencé en 1960 et s’étalant sur 50 ans, pour examiner la décroissance soudaine du taux d’hommes actifs, que les chercheurs ont pu interroger plusieurs fois les mêmes personnes de l’adolescence au décès que le scientifique a pu trouver les informations nécessaire à son étude.

Dans les questions posées aux participants se trouvait celle de la couleur de cheveux, mais aussi celle du poids, de la taille, et la couleurs des yeux. Ces questions secondaires ne devaient pas servir au programme hors pour s’assurer le la véracité des réponses et de l’identité du participant lors des interviews, cependant les scientifiques en ont profité pour tirer les informations necessaire à une étude sur le parallèle entre le QI et la couleur des cheveux.

Mort au préjugé de la blonde bête !

Finalement, une équipe scientifique a pu s’en servir afin de classer l’intelligence en fonction de la couleur des cheveux, en rejoignant la question sur la couleurs de cheveux et le test de QI effectué pour viser un emploi : les blondes arriveraient en première position, devant les chatains et rousses. Les brunes seraient en dernière position.

Les blondes seraient donc très loin de correspondre à l’image diffusée dans les médias.

 

Vous souhaitez que votre enfant soit riche plus tard ? Faîtes le lire !

Selon une étude scientifique, un enfant qui aime lire gagnera très bien sa vie.
Enfin, chers parents, il est possible de prévoir l’avenir de son enfant et de le préparer à rentrer dans de grandes écoles ! Comment ? En lui achetant des livres.

Les livres : plus forts que l’école !

Une étude scientifique italienne de l’Université de Padoue, publiée dans le Science Daily, a étudié la bibliothèque de 6000 hommes européens. Ces hommes nés au milieu du 20ème siècle ont été divisé en plusieurs groupes en fonction du nombre de livres qu’ils possédaient.

S’il a été prouvé que faire des études apportait un salaire 9% plus élevé par année scolaire, lire des livres est encore plus important car il augmente le salaire de 21% en moyenne sur une personne possédant de nombreux ouvrages alors qu’il retombe à 5 % chez une personne ayant fait des études sérieuses, mais n’ayant jamais été habitué à lire.

La lecture ; un facteur socio-économique ?

Les scientifiques de l’étude, et les économistes sont en accord avec une étude réalisée en 2013 par l’Université de Stanford qui expliquait le rapport entre le milieu socio-économique d’un enfant et le nombre de mots contenu dans son vocabulaire.

La différence du à l’accès aux livres est encore violente sur les enfants de 18 à 24 mois : les enfants favorisés auraient 260 mots de plus dans leur vocabulaire que les autres.

Le nombre de livres possédés par un foyer serait en corrélation directe avec son milieu socio-économique, créant des enfants avec plus de facilité à trouver un bon emploi permettant une vie aisée que ceux venant d’un milieu plus difficile qui ne les aurait pas habitué à lire.

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Des facteurs comportementaux impactés par la lecture régulière

Si la lecture permet d ‘accéder à de longues études et à un salaire plus important, selon les scientifiques, elle impacterait aussi la santé car elle aurait des vertus empathiques permettant de réduire l’anxiété.

Plus qu’un bon salaire, la lecture permet de faire travailler l’intellect et l’imagination des enfants tout le long de leur croissance.

 

 

 

Poster ses repas sur instagram fait maigrir

Selon une étude scientifique, si on veut maigrir il faut poster des photos de ses repas sur instagram.

Alors que la mode de l’instafood explose, une étude scientifique annonce que celle-ci pourrait faire maigrir ! C’est sans doute une étude qui fera le bonheur des blogueurs et blogueuses se servant d’instagram, qui souhaite vendre du #pornfood mais aussi suivre la mode du #running et du #fitness !

L’attrait d’esthétisme : coupe-faim naturel

Lorsque l’on va au restaurant avec ses amis, il devient d’usage de sortir son smartphone pour faire la photo tant attendu de son repas, de l’entrée au dessert.
Seulement d’après cette étude scientifique publié dans le Journal of Consumer Psychology, le simple fait de passer plusieurs minutes à choisir l’angle, régler la luminosité, ajouter un filtre, poster le tout avec un hashtag qui marche et une jolie phrase d’accroche, ne nous permettrait pas de profiter de son assiette.

On passerait donc plus de temps à prendre des photos et à les publier qu’à profiter de son moment culinaire !

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Des photos et des cacahouètes

Pour en arriver à de tels résultats, il a fallut tester deux groupes de personnes : le premier groupe devait juger des photographies en donnant une note sur l’envie qu’elles développaient avant de devoir gouter des cacahouètes; le second groupe devait uniquement choisir une photographie avant de gouter les cacahouètes.

Le premier groupe a montré un attrait beaucoup moins important pour les cacahouètes, alors que le second groupe les appréciaient.
En conclusion, plus on passe de temps sur les photographies, moins on a envie de manger, et moins on mange.

Laissez votre smartphone dans votre sac la prochaine fois que vous irez au resto, sauf si vous souhaitez maigrir !

L’astuce régime consisterait donc à commander le plus de plats possible, et à les prendre en photos… testé et approuvé par un bon nombre de portefeuilles, en tout cas.

 

 

 

La question qui sauve un mariage

Selon une étude scientifique, la bienveillance et la gentillesse permettrait à un mariage de durer longtemps.
C’est en voyant le nombre de mariages puis de divorces, qu’un couple de psychologues, John et Julie Gottman, a décidé de tester des mariés dans leur routine afin de déterminer ce qui fait un bon et un mauvais mariage.

Des divorces et des réussites prévisibles

Pour réaliser cette étude le couple de psychologue a créé un laboratoire de l’amour pour y apporter 130 couples qui y restaient chacun une journée afin d’y faire les taches quotidiennes telles que le repas et le ménage.
En sortant du laboratoire de l’amour les couples étaient divisés en deux groupes : les masters ou les disasters, c’est à dire ceux qui étaient envisagés comme un bon ou comme un mauvais mariage à venir.

En les revoyant six ans plus tard, le couple de psychologue à pu voir que les prévisions étaient bonnes : les masters étaient totalement épanouis dans la vie de couple alors que les disasters étaient divorcés ou malheureux.

L’utilisation de la gentillesse et de la bienveillance pour réussir un mariage

Pour les deux psychologues c’est la présence de gentillesse et de bienveillance dans le couple qui le fait durer de façon positive. Les couples du groupe des masters ne cessaient de s’envoyer des signaux d’admiration et de gratitude.

« Tu connais la dernière » serait l’une des questions permettant à l’un des deux de s’intéresser aux gout de sa moitié afin de préserver la connexion entre eux.
En ne faisant pas attention à l’autre, en ne l’écoutant pas quand il parle, ou en ne se rendant pas compte que ce qu’il dit a de l’importance, le conjoint n’envoie pas seulement des signaux de fatigue ou de manque de temps mais des signaux beaucoup plus négatifs dans le temps.

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Des différences émotionnelles et physiques

En installant des électrodes sur certains couples, pendant le laboratoire de l’amour, les psychologues ont pu se rendre compte que les disasters montrait des éléments de stress physiologiquement égal à une bagarre, alors que les masters montraient uniquement de la passivité.