5 bonnes raisons de vivre en Normandie

Selon une étude menée en 2019 par Elabe et l’Institut Montaigne, et intitulée « le baromètre des territoires », 75 % des Normands se déclarent heureux, faisant de leur région celle où l’on est le plus heureux, à égalité avec l’Île-de-France.
Située dans le nord-ouest de la France, la Normandie est bordée par la Manche et est reconnue pour son importance historique dans la plupart des événements de notre pays. Avec plus de 3 millions d’habitants, ses villes phares comme Rouen, Caen, Évreux, Deauville ou Le Havre, accueillent de nouveaux habitants chaque année, qui ont souvent découvert le territoire grâce au tourisme. Achat immobilier, emploi, cadre de vie et atouts charme de la région, pourquoi partir vivre en Normandie ?

L’immobilier en Normandie

Même si le secteur de l’immobilier est abordable sur toute la région, de la Manche au Calvados, c’est la ville de Rouen et ses environs qui, d’après certaines études, tire le mieux son épingle du jeu, en proposant des logements accessibles aux nouveaux arrivants. Globalement, le prix moyen d’une  location en Normandie est 69 % moins élevé qu’à Paris, tout comme le prix du m² qui est 80 % plus bas. Autant dire que la région est un vivier de biens immobilier intéressants, pour qui souhaite quitter la capitale sans trop s’en éloigner.

L’emploi en Normandie

La Normandie fait partie des régions qui s’en sont sortie le mieux en 2018, tous secteurs d’activité confondus, et où l’emploi est en constante progression chaque année. Le taux de chômage reste néanmoins de 8.7 %, soit équivalent au chiffre du reste de la France, même si celui-ci ne cesse de descendre pour la région, à la faveur des jeunes de moins de 25 ans et des hommes. Notons tout de même que si le coût de la vie y est moins élevé qu’à Paris, le salaire est en général 25 % moins élevé aussi.

L’accueil des nouveaux arrivants en Normandie

S’il est un point où la Normandie excelle, c’est en ce qui concerne l’accueil des nouveaux arrivants dans sa région. En effet, le territoire a mis en place une politique particulière à ce sujet, avec un numéro dédié pour ces questions, comme le logement, les écoles, l’emploi ou les services disponibles. Après la prise en charge préliminaire, un conseiller s’occupe de l’arrivant du début à la fin de l’installation.

Le patrimoine en Normandie

Autre point attractif de la Normandie, la région compte un grand nombre de monuments classés, notamment la ville de Rouen avec sa Cathédrale Notre-Dame ou son Parlement. D’autres villes normandes ne sont pas en reste, comme La Bouille ou Jumièges, des villages pittoresques et rempli d’histoire.

La culture en Normandie

Du Havre à Honfleur en passant par la ville de Rouen et Giverny, la Normandie s’illustre dans ses événements culturels en tous genres. Tour de France, Coupe Davis, festival impressionniste et spectacle « Cathédrale de Lumière », beaucoup de manifestations rythment régulièrement la vie sur le territoire normand. Sans parler de ses nombreux musées : beaux-arts, art moderne, débarquement…

Les musclés sont plus heureux…

Selon une étude scientifique réalisée par des chercheurs internationaux, faire du fitness, c’est-à-dire de la musculation, permet de lutter contre la dépression.

Le sport, nouvelle alternative aux traitements thérapeutiques ?

La dépression représente 300 millions de personnes, et peut amener d’autres pathologies plus ou moins graves, allant de quelques problèmes de santé, au diabète, en passant par la maladie d’Alzheimer et les maladies cardiovasculaires.

Jusque-là il avait été prouvé que faire du cardio était déjà une bonne façon de lutter contre la dépression, cependant cette nouvelle étude prouve que faire de la musculation peut avoir autant d’impact que de prendre des antidépresseurs ou de suivre une thérapie.

Est-ce que ça n’est pas le moment de se motiver ? Si vous  avez du mal à vous lancer, répétez-vous ces quelques citations pour se motiver !

L’étude internationale reprend 33 études déjà existantes qui concerneraient plus de 2000 participants ayants des troubles mentaux ou des signes de dépression dus a la maladie, mais aussi à leur obésité, l’anxiété, la vieillesse ou même une blessure.

Pour réaliser cette étude, deux groupes ont été créés : le premier regroupait des personnes non traitées et le second des personnes chargées de suivre un programme sportif adapté.

Des résultats probants : le sport c’est la santé

En suivant un programme de fitness, les participants ont tous montré une diminution des symptômes de la dépression, qu’ils fassent une pratique modérée ou intensive du sport. La sensation de soulagement s’est montrée plus élevé lorsque le participant était suivi par un coach.

La santé physique apportée par l’entrainement ne rentre pas en compte pour la sensation de bien-être ; il semblerait que la pratique seule du sport soit suffisante pour procurer cette sensation.

Durant cette étude, les sportifs « du dimanche » sont restés à leur niveau en profitant de l’entrainement, alors que les sportifs déjà établis se sont pris au jeu d’un entrainement plus intensif.

Un programme adapté à chacun, pour un bénéfice optimal

Il ressort de cette étude que pour permettre au sport de venir vaincre les symptômes de la dépression, il est nécessaire de savoir doser son entrainement sportif, en suivant un plan de musculation mais aussi un plan diététique adapté à cette nouvelle pratique physique.

Attention, il est important de ne pas passer dans l’addiction trop poussée, qui ne ferait que remplacer la dépression par d’autres soucis, mais de savoir tirer avantage des entrainements sur la motivation et la dynamique qu’ils apportent dans la vie de tous les jours.

 

Les hommes aiment les voitures, les femmes préfèrent les oiseaux

Selon une étude scientifique, la différence de sexe ne résume pas la différence homme/femme. Mais les oiseaux et les voitures, si.

Un test simple, des résultats sans interêt

En réalisant un test auprès de plus de 200 personnes, les scientifiques ont testé si les hommes et les femmes repéraient plus rapidement les objets ou les visages.

Pour cela ils ont dévoilé une photographie aux participants, avant de les mettre en présence de deux autres photographies inconnues.

Apparemment les femmes réagissent plus rapidement en présence d’êtres vivants et les hommes aux véhicules.

Un étude des genres un peu trop clichée ?

Si vous décidez d’utiliser cette étude lors d’un diner entre voisins, attention à ne pas vexer les susceptibilité. Bien que cette étude soit sérieuse, il serait normal qu’ils se posent des questions quant à la raison de cette recherche.

Jusque là plusieurs études avaient dévoilés de légères différences entre les deux sexes, telles que la réaction face aux mouvements ou au couleurs.

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La force de l’apprentissage contre celle de la nature

La question qui se pose apparemment lorsque l’on réalise des études sur les hommes et les femmes, c’est : la différence présente entre les deux est-elle innée ou acquise socialement ?

D’après les chercheurs et scientifiques de l’étude :

« Chacun de nous est né capable de reconnaître les objets et d’apprendre à très bien les reconnaître. Nous devenons tous très bons pour reconnaître des visages parce que c’est primordial quand on vit en société. La plupart d’entre nous développe une capacité particulière à reconnaître certains objets due à leur emploi, leur hobby, ou leur centre d’intérêt. Notre culture influe sur le genre d’objets auxquels on fait attention », explique la scientifique.
Cependant, il pourrait y avoir des différences innées de perception entre hommes et femmes. Ce n’est pas la première fois que nous constatons des différences entre hommes et femmes. Récemment, une autre étude a montré que les hommes étaient plus aptes à reconnaître les voitures mais cela s’explique parce que les hommes sont plus sensibles aux mouvements rotatoires. Notre expérience suggère néanmoins que cette hypothèse n’explique pas tout puisque les femmes sont meilleurs que les hommes pour reconnaître d’autres types d’objets, »

 

Trompez votre moitié, offrez lui un bel avenir !

Selon une étude scientifique, les femmes trompées auraient de fortes chances de réussir ensuite.

Un éléphant, ça trompe énormément

Cette étude un peu étrange a été réalisée par le Docteur Craig Eric Morris de l’Université de Binghamton à New York, qui explique sa théorie par la pause forcée que prennent les femmes suite à une tromperie : « Souvent les femmes trompées font un break. Elles ne veulent plus, pendant un temps, de relation amoureuse. Et cette pause, même si ça ressemble à une défaite, a des effets positifs. ».

Selon le scientifique, il est évident que la personne à l’origine de la séparation se remettra plus rapidement de cet état de fait que celle qui subit, cependant dans tous les cas c’est finalement l’amant ou la maitresse qui perdra le plus dans l’histoire.

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Un éléphant se trompe énormément, finalement

L’étude publiée dans l’Evolutionary Behavior Sciences démontre que si la personne trompée souffre dans un premier temps, elle s’en sort mieux que l’amant ou la maitresse. En effet si la relation sexuelle, et par conséquent passionnée, est de prime abord gagnante, elle n’est pas une source sure d’avenir.

Cette étude réalisée sur plus de 5000 personnes de pays différents, rassurera les femmes trompées, qui peuvent maintenant connaitre leur avenir, qui sera largement plus chanceux que celui de ceux qui l’ont mis dans cette situation.

« Dans l’évolution, la promiscuité sexuelle est souvent une stratégie à court terme. Pendant un bref instant, la femme a gagné bataille. Mais au final, elle va probablement perdre la guerre. Sa réputation va être endommagée, et cela va réduire sa capacité à acquérir un compagnon de bonne qualité et avec lequel elle va vivre une longue relation. »

La source du bonheur ne se trouverait donc pas au milieu de l’herbe « plus verte » du voisin, ou de la voisine ? Haut les cœurs, et bas les pattes !

 

Surdosage des médicaments pédiatrique : la petite cuillère mise en cause

Selon une étude scientifique, la petite cuillère conduit à des surdosages médicamenteux pour des enfants en bas age.
C’est au travers d’une étude réalisée par la New York University School of Medicine que l’on apprend que la petite cuillère amène les parents à faire des erreurs de dosage. Si ces erreurs sont la plupart du temps sans conséquence, elles peuvent devenir extrêmement dangeureuses avec des médicaments plus puissant.

Des erreurs de dosage fréquentes

Pour faire cette étude, les chercheurs ont demandé à 287 parents de jeunes enfants de donner un sirop pendant deux semaines à leur enfant. Une fois les deux semaines passées, les chercheurs ont questionné les parents sur la façon de doser le médicament, en montrant leur façon de le donner à l’enfant.
Lors de cette étape, les scientifiques ont pu découvrir que 32 % des parents ne connaissent pas vraiment la dose prescrite, 39% font des erreurs sur un dosage qu’ils pensent être le bon, 41% font une erreur de dosage par rapport à la bonne dose et 17% n’utilisent pas le dispositif de dosage donné avec le sirop mais prennent une petite cuillère et font deux fois plus d’erreurs de dosage que les autres.

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La petite cuillère : alliée des parents, ennemie des enfants

Un parent sur six utilise la petite cuillère au lieu de prendre le système homologué fourni avec le médicament. Que ce soit par impression que la petite cuillère sera plus pratique, plus solide, ou tout simplement plus adaptée, les parents se trompent en prenant une petite cuillè352352re quand le médicament est prescrit avec un système adapté. La petite cuillère offre la possibilité de faire des erreurs de dosage fréquentes (deux fois plus qu’avec le système fourni) car elle n’est pas de taille unique et n’a pas la même contenance que la dosette ou la cuillère fournie et marquée. Si les sirops n’ont pas l’air dangereux, le surdosage d’un antibiotique l’est beaucoup plus.

Rangez la petite cuillère, et utilisez celle fournie dans la boite du médicament ! Mais attention à ne pas garder les cuillères et dosettes fournies pour éviter les mélanges avec d’autres médicament et des surdosages qui pourraient être très grave.

Les femmes qui boivent beaucoup sont très intelligentes !

Selon une étude scientifique, il y a bien un lien entre la forte consommation d’alcool et l’intelligence.

Plusieurs études mêlant alcool et intelligence

Des chercheurs finlandais ont réalisé une étude sur plus de 3000 jumeaux afin de voir si celui qui apprenait le plus vite à faire des phrases complexes, à parler et à lire, était aussi celui a boire le premier.
Selon cette étude, le vocabulaire et la précocité d’apprentissage font partis des marqueurs d’une grande intelligence sociale.C’est cette intelligence sociale apporte un développement verbal permettant de se lier plus facilement aux autres, et donc de se retrouver facilement en présence d’alcool.

Une autre étude réalisée par Satoshi Kanazawa, tente à expliquer ce rapport entre alcool et intelligence vient de la difficulté pour le cerveau humain à adopter des faits nouveaux. Cette difficulté serait moins élevée chez les personnes avec une intelligence supérieure, ce qui leur permettrait de comprendre l’attrait et la consommation volontaire d’alcool.

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Une nouvelle étude dédiée aux femmes

Maria Huerta et Francesca Borgonovi ont suivi le même chemin, mais en ne s’intéressant qu’aux femmes face à l’alcool.

En étudiant les habitudes de femmes nées en 1970, les chercheuses ont pu voir que les femmes intelligentes boivent plus que les autres.
D’après elles, plus une femme est éduquée, plus elle fait de longues études et a des enfants tard. En suivant ce schéma, une femme peut alors avoir un très bon salaire et une vie sociale importante ce qui lui permettra d’envisager une grande carrière.

Pourquoi boire plus, lorsque l’on est plus éduquée ? Étant donné que ces femmes occupent de hauts postes, elles seraient entourées d’hommes… et il est bien connu que l’alcool est un péché viril, donc elles boivent plus.

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Il y aurait tout de même un hic à se rapport entre l’intelligence et l’alcool, car les femmes pourraient facilement créer une dépendance à l’alcool.
Forcément, si ces études manquent encore de preuves scientifiques, on peut au moins être sûr d’une chose : on a plus de chance de devenir alcoolique en buvant, qu’en ne buvant pas.

 

 

 

 

 

 

 

Vous souhaitez que votre enfant soit riche plus tard ? Faîtes le lire !

Selon une étude scientifique, un enfant qui aime lire gagnera très bien sa vie.
Enfin, chers parents, il est possible de prévoir l’avenir de son enfant et de le préparer à rentrer dans de grandes écoles ! Comment ? En lui achetant des livres.

Les livres : plus forts que l’école !

Une étude scientifique italienne de l’Université de Padoue, publiée dans le Science Daily, a étudié la bibliothèque de 6000 hommes européens. Ces hommes nés au milieu du 20ème siècle ont été divisé en plusieurs groupes en fonction du nombre de livres qu’ils possédaient.

S’il a été prouvé que faire des études apportait un salaire 9% plus élevé par année scolaire, lire des livres est encore plus important car il augmente le salaire de 21% en moyenne sur une personne possédant de nombreux ouvrages alors qu’il retombe à 5 % chez une personne ayant fait des études sérieuses, mais n’ayant jamais été habitué à lire.

La lecture ; un facteur socio-économique ?

Les scientifiques de l’étude, et les économistes sont en accord avec une étude réalisée en 2013 par l’Université de Stanford qui expliquait le rapport entre le milieu socio-économique d’un enfant et le nombre de mots contenu dans son vocabulaire.

La différence du à l’accès aux livres est encore violente sur les enfants de 18 à 24 mois : les enfants favorisés auraient 260 mots de plus dans leur vocabulaire que les autres.

Le nombre de livres possédés par un foyer serait en corrélation directe avec son milieu socio-économique, créant des enfants avec plus de facilité à trouver un bon emploi permettant une vie aisée que ceux venant d’un milieu plus difficile qui ne les aurait pas habitué à lire.

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Des facteurs comportementaux impactés par la lecture régulière

Si la lecture permet d ‘accéder à de longues études et à un salaire plus important, selon les scientifiques, elle impacterait aussi la santé car elle aurait des vertus empathiques permettant de réduire l’anxiété.

Plus qu’un bon salaire, la lecture permet de faire travailler l’intellect et l’imagination des enfants tout le long de leur croissance.

 

 

 

Poster ses repas sur instagram fait maigrir

Selon une étude scientifique, si on veut maigrir il faut poster des photos de ses repas sur instagram.

Alors que la mode de l’instafood explose, une étude scientifique annonce que celle-ci pourrait faire maigrir ! C’est sans doute une étude qui fera le bonheur des blogueurs et blogueuses se servant d’instagram, qui souhaite vendre du #pornfood mais aussi suivre la mode du #running et du #fitness !

L’attrait d’esthétisme : coupe-faim naturel

Lorsque l’on va au restaurant avec ses amis, il devient d’usage de sortir son smartphone pour faire la photo tant attendu de son repas, de l’entrée au dessert.
Seulement d’après cette étude scientifique publié dans le Journal of Consumer Psychology, le simple fait de passer plusieurs minutes à choisir l’angle, régler la luminosité, ajouter un filtre, poster le tout avec un hashtag qui marche et une jolie phrase d’accroche, ne nous permettrait pas de profiter de son assiette.

On passerait donc plus de temps à prendre des photos et à les publier qu’à profiter de son moment culinaire !

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Des photos et des cacahouètes

Pour en arriver à de tels résultats, il a fallut tester deux groupes de personnes : le premier groupe devait juger des photographies en donnant une note sur l’envie qu’elles développaient avant de devoir gouter des cacahouètes; le second groupe devait uniquement choisir une photographie avant de gouter les cacahouètes.

Le premier groupe a montré un attrait beaucoup moins important pour les cacahouètes, alors que le second groupe les appréciaient.
En conclusion, plus on passe de temps sur les photographies, moins on a envie de manger, et moins on mange.

Laissez votre smartphone dans votre sac la prochaine fois que vous irez au resto, sauf si vous souhaitez maigrir !

L’astuce régime consisterait donc à commander le plus de plats possible, et à les prendre en photos… testé et approuvé par un bon nombre de portefeuilles, en tout cas.

 

 

 

Les bébés pleurent la nuit pour éviter une grossesse rapprochée !

Selon une étude scientifique, les bébés pleurent la nuit pour fatiguer les parents et éviter un retour de couche.

Des pleurs répertoriés

Jusque là les études divisaient les pleurs de bébé en six raisons tout à fait rationnelles, en se référent à l’échelle de Brazelton: la faim, l’ennui, la douleur, les coliques, les cris de défoulement du soir, et l’inconfort.

Cependant cette nouvelle étude scientifique de l’Université d’Harvard montrerait qu’une septième raison expliquerait les pleurs nocturnes du bébé : l’envie d’épuiser les parents.
David Haig, l’auteur de l’étude, explique que les pleurs nocturnes du nourrisson sont là pour fatiguer nerveusement et physiquement les parents en demandant une attention sans trêve. Ce n’est bien entendu pas par méchanceté que les bébés feraient ceci, mais afin d’éviter une nouvelle grossesse due à un retour de couche.

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Des bébés programmés pour la survie

David Haig, confirme les résultats de son étude, et explique que «la fatigue de la mère peut être considérée comme partie intégrante de la stratégie d’un nourrisson pour prolonger l’écart entre deux naissances (…), les naissances rapprochées sont associées à une augmentation de la mortalité infantile, surtout en milieu modeste ou dans les milieux ou les épidémies sont plus fréquentes».

Siobhan Freegard, créateur d’un réseau parental britannique Netmum, va dans le sens de l’étude en ajoutant qu’ «Espacer les naissances permet à la mère de se remettre de l’accouchement et de rendre plus indépendant son premier enfant, augmentant ainsi ses chances de survie. Cette étude paraît donc plutôt sensée.»

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L’enfant ne veut pas forcément garder l’attention pour lui et épuiser sa mère pour le plaisir, il veut aussi s’assurer de sa propre survie. D’ailleurs, si les bébés allaités au sein demande beaucoup plus après leur mère la nuit, c’est simplement pour que l’aménorrhée dure plus longtemps et assure ainsi l’infertilité jusqu’à la fin de l’allaitement au sein.

Les petites cuillères : étude sur une disparition inexpliquée

Selon une étude scientifique, la disparition des petites cuillères entraine de grosses conséquences psychologiques sur les employés.

Linstitut Burnet en Astralie s’est penché sur le cas des petites cuillères, et de leur disparition inquiétante.

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Cuillères baguées et interrogatoires forcés

Afin de réaliser leur expérience, les scientifiques ont numéroté 70 cuillères à café inoxydable, en mélangeant 54 cuillères de qualité moyenne et 16 de bonne qualité.
Une fois les cuillères divisées en plusieurs cafétérias, ils ont pu les compter une fois par semaine pendant cinq mois.

C’est seulement quand l’expérience des petites cuillères s’est fini que les employés ont su qu’ils étaient cobayes d’une étude scientifique, et qu’ils ont répondu à un questionnaire anonyme parlant de leur fonctionnement avec les cuillères à café et les interrogeant sur le phénomène de disparition.

A la recherche des cuillères à café

Sur les 70 petites cuillères du début de l’étude, plus de 80 % avaient disparu.
Les premiers 50% ont disparu en 81 jours,  et seulement 42 jours dans les cafétérias en ville pour 77 jours en entreprise.

Si les chercheurs avaient disposé des cuillères de différentes qualité, cela n’a pas influencé leur perte, qui est à peu près équivalente qu’il s’agisse des cuillères de qualité moyenne ou haute. Selon cette étude scientifique, il faudrait acheter plus de 250 cuillères chaque année pour s’assurer dans avoir 70.

Une guerre psychologique

Les chercheurs de l’Institut Burnet explique le phénomène de disparition des petites cuillères par le résistantialisme, c’est à dire par l’aversion naturelle des objets inanimés pour l’être humain.

Cette rébellion n’est pas sans effet pour l’être humain. En effet le questionnaire réalisé lors de l’étude a prouvé que les employés souffraient de cette disparition entrainant une pénurie. Il faudrait donc instaurer des contrôles et des comptages afin d’éviter la disparition des petites cuillères, et par conséquent sauver les employés du mécontentement qu’elle attire.

Vivement l’étude sur la disparition des chaussettes, qui amène les plus braves et sages d’entre nous à la folie furieuse.