Selon une étude scientifique, faire du camping nous ferait du bien !

Selon une précédente étude scientifique, en 2013, des scientifiques avaient prouvé qu’il suffisait de camper pendant une semaine l’été pour voir le taux de mélatonine augmenter régulièrement par rapport au rythme naturel, permettant ainsi aux campeurs de retrouver le sommeil.

Une étude pour compléter une autre étude

Une nouvelle étude scientifique permet de comparer le camping et la maison, avec des horaires similaires pour tous, afin de voir si le taux de mélatonine augmente sur tous ou uniquement sur les campeurs.

L’étude a eu lieu en deux temps, avec deux expériences distinctes afin d’étudier l’impact de la lumière naturelle, mais aussi celle du suivi du rythme.

Le principe : suivre le rythme pour avoir la santé

C’est en suivant le rythme naturel lié au soleil et à l’obscurité que l’expérience du camping doit nous faire du bien. C’est ce qu’on appelle le rythme circadien, c’est-à-dire le rythme biologique et physiologique établi sur 24 heures, en gros c’est ce même rythme qui nous dit quand c’est l’heure de manger : c’est que l’on aime bien appeler l’horloge interne.

Plus on s’éloigne de ce rythme naturel, plus notre santé peut se dégrader et entraîner des troubles importants dans notre organisme. Cela peut même développer des soucis cognitifs, et des maladies.

Après neuf jours à camper, les chercheurs ont pu prouver que l’action de la mélatonine avait déjà commencé à se modifier, puisqu’elle avait avancé d’une heure et demie après 11 jours (9 jours de camping, et deux jours à la maison). Quel impact ? Et bien un sommeil plus tôt, et donc un endormissement plus facile.

Un rythme saisonnier en parallèle ? 

Afin de pousser l’étude, les scientifiques ont réalisé une seconde expérience, mais cette fois-ci en hiver. Avec une surveillance de la mélatonine toutes les 24 heures sur cinq jours, les chercheurs ont pu remarquer que les campeurs avaient modifié leurs cycles de sommeil en dormant plus tôt et plus longtemps, comme lorsque les animaux hibernent.

Pour être en bonne santé, il faudrait donc se caler au maximum sur le rythme naturel et profiter aussi de la lumière naturelle au fil des saisons, plutôt qu’utiliser la lumière artificielle. Si cela parait compliqué au jour le jour, vous pouvez toujours prévoir votre futur séjour en bord de mer dans le Var, ou une escapade dans des cabanes dans les arbres car cette exposition régulière est suffisante pour permettre à votre corps et votre esprit de se ressourcer, et sinon il faut au maximum se glisser sous la lumière naturelle, dans son jardin, ou dans la forêt en diminuant le temps d’écran pour mieux dormir.

Les scientifiques l’affirment, courir rend plus intelligent

Selon une étude scientifique parue dans la très sérieuse revue « Cell Metabolism », courir rendrait plus intelligent. Alors qu’il était de notoriété publique que la course à pied influait positivement sur la santé et l’espérance de vie, à l’instar de nombreux autres sports, les effets de celle-ci sur les aptitudes intellectuelles étaient encore insoupçonnés.

Si vous faites partie de ces Français qui ont essayé le jogging pendant le premier confinement de 2020, sans réussir à persévérer dans la pratique par manque de motivation, ce qui suit pourrait bien vous faire changer d’avis.

La course à pied améliore notre mémoire

Selon l’expression consacrée « un esprit sain dans un corps sain », le sport peut s’avérer particulièrement salvateur en matière de neurosciences. Visiblement, l’étude de Cell Metabolism tend en ce sens, puisqu’elle affirme que la course à pied améliore notre mémoire et augmente les capacités de raisonnement. Cette faculté serait en fait due à la sécrétion de la cathepsine B durant l’exercice physique, une protéine qui entraîne la production de nouveaux neurones dans la région de l’hippocampe.

Dans la même lignée que ce rapport, des scientifiques japonais ont publié d’autres conclusions similaires au sein du « Journal international de la médecine du sport », après avoir mené leur propre étude sur un groupe de rats. Ces derniers ont entre autres affirmé que le jogging favorise la construction de nouveaux souvenirs et qu’il permet aussi d’améliorer la conservation des anciens.

Courir : une solution pour diminuer les maladies neurodégénératives ?

Au-delà de la création de nouveaux neurones au niveau de l’hippocampe, une région du cerveau où nous en perdons chaque année 1% à partir de 20 ans, la pratique de la course à pied est présentée par les chercheurs comme une solution viable pour lutter contre les maladies neurodégénératives. Effectivement, la démence est une pathologie qui fait l’objet de nombreuses recherches dans le monde, en particulier pour des maladies comme Alzheimer ou Parkinson. Si aucun traitement ne permet encore de guérir ces dernières, quelques études importantes commencent à démontrer les bienfaits de certaines habitudes de vie sur la diminution des risques.

Ainsi, une activité physique régulière telle que le jogging semble être une alternative sérieuse, qui peut être envisagée à tout âge lorsque le corps le permet. C’est d’ailleurs un point de vue confirmé par le très médiatisé neurologue parisien Jean-François Chermann, qui ajoute même l’augmentation de la créativité dans la liste des bienfaits. De quoi vous donner de bonnes raisons de chausser vos plus belles Nike Air Force 1 et de partir sillonner votre quartier lors de 2 ou 3 séances de running hebdomadaires.

Le corps humain reste en mouvement après la mort

Selon une étude scientifique menée par un institut australien à la fin de l’année 2019, le corps humain continuerait de se mouvoir bien après la mort. Intrigant, non ? C’est en tout cas la conclusion des chercheurs, après une procédure longue de 17 mois et plusieurs centaines de corps ayant servi à valider cette expérimentation.

Depuis toujours, la médecine et la science considèrent que la mort signe la fin de toute activité corporelle, d’où l’importance de cette découverte, dont peu de médias se sont finalement fait le relais.

Un corps pourrait bouger jusqu’à plus d’un an après la mort

Le très sérieux institut AFTER, « Australian Facility for Taphonomic Experimental Research », s’est penché plus précisément sur l’évolution du corps humain après la mort, et plus particulièrement sur ses réactions face à la décomposition. Au cours de son étude, il a donc découvert que ce dernier restait en mouvement bien après le décès et l’enterrement. Au-delà du caractère surprenant de cette révélation, ce sont les fondements mêmes de nos connaissances qui sont ainsi remis en question.

Ainsi, cette étude s’est longuement attardée sur le cas de plusieurs centaines de personnes décédées, mettant ces dernières dans différentes conditions de décomposition. À l’arrivée, d’après le rapport fait par la directrice des recherches, Alyson Wilson, leurs bras auraient bougé tout particulièrement, et cela, jusqu’à un an après le décès du corps. 

Tout au long de la procédure, les chercheurs ont filmé les corps pendant 17 mois, à raison d’un film toutes les 30 minutes. Une opération de taille, qui a donc donné des résultats surprenants et inattendus.

Évidemment, ce phénomène a une explication rationnelle, puisqu’il n’est dû qu’au rétrécissement et à la contraction des ligaments dans les mois qui suivent la mort.

La police pense pouvoir tirer parti de cette avancée importante

Dans le domaine médico-légal, ce type de découvertes peut grandement influer sur le travail de la police et des équipes de la brigade criminelle. Tout naturellement, les conclusions de l’institut australien ne font pas exception à cette règle, puisqu’elles viennent bouleverser l’une des bases de toute enquête : la cause du décès.

En effet, pour connaître le contexte qui explique la découverte d’un corps, les médecins légistes se basent en grande partie sur la position de celui-ci. Il s’agit donc d’un élément déterminant, et à ce titre, les scientifiques de l’institut espèrent pouvoir collaborer avec la police pour améliorer la prise en charge des décès suspects.

Alzheimer et Parkinson: des pathologies aggravées par la pollution ?

Selon une étude scientifique, la pollution de l’air et de notre atmosphère a une bien mauvaise influence sur la maladie d’Alzheimer, de même que sur la maladie de Parkinson. S’il s’agit d’un constat dont on se doutait déjà plus ou moins, celui-ci tend à se confirmer année après année.

C’est la revue américaine « The Lancet Planet Health » qui jette un pavé dans la mare, en révélant les résultats de cette grande enquête épidémiologique, fruit de l’analyse des données de 60 millions de personnes entre 2000 et 2017. Cette dernière n’est pas la seule à avoir pointé du doigt la pollution des hommes pour justifier l’apparition d’Alzheimer et de Parkinson, puisqu’une étude anglaise de 2018 était déjà parvenue à cette même conclusion.

Les incidences néfastes des particules fines

En récupérant les dossiers de millions de patients hospitalisés pour la maladie de Parkinson ou d’Alzheimer, les scientifiques ont remarqué leur forte exposition annuelle aux particules fines. Alors que ces dernières sont décriées depuis plusieurs années, au point de voir disparaître petit à petit les véhicules diesel, les seuls effets prouvés jusqu’ici relevaient de maladies respiratoires et cardiovasculaires.

Si de nombreux médecins de par le monde tirent la sonnette d’alarme à ce sujet depuis bien longtemps, les preuves d’une association positive entre la pollution atmosphérique et les pathologies d’Alzheimer et de Parkinson viennent encore à manquer. Pourtant, étude après étude, les conclusions sont les mêmes, et tous les patients présentent un fort taux d’exposition annuelle à ces dernières, notamment dues à leurs lieux de vie ou de travail.

Le cerveau : la grande victime de la pollution atmosphérique

Alors que de nombreux experts et scientifiques cherchent encore à prouver avec certitude le rapport entre pollution et Alzheimer/Parkinson, l’Université de Lancaster, au Royaume-Uni, a pu se pencher sur d’autres effets destructeurs pour le cerveau.

En effet, cette dernière a démontré que les nanoparticules de la pollution atmosphérique détruisent les cellules nerveuses de notre superordinateur crânien, en entrant notamment par le bulbe olfactif. La conséquence directe de cette découverte est évidemment une meilleure compréhension de la dégénérescence mentale sous toutes ses formes, bien que l’on ne sache pas comment l’éviter.

Une chose est sûre néanmoins, nous sommes tous confrontés à ce risque, peu importe notre âge, notre sexe, ou même notre origine ethnique. Pourtant, les solutions restent minces et ces maladies pèsent encore bien peu face à notre société hyperactive, mais aussi et surtout hyperpolluante. Elles amènent pourtant à une perte d’autonomie et pèsent sur les familles, ces recherches sont donc un premier pas vers une prise de conscience des causes « du mal ».

Prendre les transports en commun pour lutter contre la sédentarité

Selon une étude scientifique, utiliser les transports en commun serait bon pour la santé.
En effet, ce sont des chercheurs de l’Institut National de la santé et de la recherche médicale qui ont réalisés cette étude.

Pour ce faire, l’INSERM a travaillé avec les chiffres donnés par le STIF, soit par l’organisme de finance des transports publics franciliens. Bien entendu, les transports en commun ne sont pas la principal source de bien être, il vaut mieux se déplacer à vélo tout de même pour être en forme ; cependant utiliser les transports en commun arrive en seconde place en terme de déplacement.

Des transports en commun bons pour la santé, mais moins pour l’esprit

Mais pourquoi les transports en commun sont-ils bons pour la santé ? Et bien d’après l’étude de l’INSERM et du STIF, lorsque l’on utilise les transports en commun, on utilise surtout ses jambes ! Et cela sans s’en rendre compte, et souvent d’un pas vif, puisqu’il s’agit d’aller d’un point à un autre, avec une distance importante tout de même.

Cette activité périphérique à l’utilisation du bus, tram ou métro, permet de se maintenir en forme et de lutter contre l’obésité, les AVC, et les cancers.

S’ils évitent la sédentarité, selon le directeur de l’étude Basile Chaix, les transports en commun, que ce soit métro, tram ou bus, ne permette pas de se relaxer, bien au contraire. D’après les chercheurs, l’utilisation des transports en commun ne sont pas source de plaisir, et paraissent même plutôt désagréables.

En plus de ses bienfaits physiques, l’utilisation des transports en commun permet d’agir sur la préservation de la planète en polluant moins qu’en usant de véhicules personnels.
C’est pourquoi utiliser les transports en commun quotidiennement et passer par la location de voiture en cas de réelle nécessité est une bonne idée pour ne pas s’encombrer d’un véhicule polluant et couteux. D’autant plus que louer un véhicule permet de le choisir en fonction de son besoin réel, donc sur une durée spécifique sans utilisation futile.

Qu’est-ce qui pourrait changer les résultats de cette étude ?

Les moyens de transports en communs se développent un peu plus chaque année, que ce soit en nombre ou en qualité. Afin d’offrir des solutions plus pratiques aux usagers, de nouveaux moyens d’entre-transports sont apparus. : vélos, et trottinettes par exemple. Ces nouveaux moyens permettent aux usagers de rejoindre leurs différents modes de transport de façon plus rapide en gardant un côté plus ou moins sportif.

Si le côté environnemental est préservé voire accentuée en rendant plus facile l’utilisation des transports en commun, l’impact sur le corps risque d’être moins prononcé, surtout que les vélos et trottinettes sont remplacées par des vélos et trottinettes électriques, donc très peu sportives.

Continuez à vous maintenir en forme en prenant les transports, utilisez vos pieds plutôt qu’une trottinette pour rejoindre votre correspondance et tout ira bien : vous et la planète !

La surdité est-elle responsable de la démence ?

Selon une étude scientifique réalisée par des spécialistes de l’audition, la surdité serait en relation directe avec un état de démence chez les personnes âgées.

Le couple « oreille-cerveau », pourvu que ça dure !

Le fait d’entendre est lié au couple oreille-cerveau lorsqu’il fonctionne correctement.

L’oreille réceptionne des ondes sonores qui font vibrer le tympan et arrivent dans les liquides de la cochlée. Les cellules de Corti (cellules cillées) les transforment afin qu’elles soient transmises au cerveau via le nerf auditif.

Maintenant, pour que le cerveau interprète ces informations, il faut qu’elles soient compréhensibles.

Alors qu’une cartographie du cerveau montre que plusieurs zones sont concernées par l’audition (aire auditive primaire et secondaire), la science prouve que la perte de volume du cortex cérébral et l’altération de la substance blanche ainsi qu’une réduction de l’activité des neurones dans ces zones sont liées à la diminution des stimulis sonores.

L’adulte vieillissant qui doit fréquemment « tendre l’oreille » subit stress et fatigue. Le cerveau ne reçoit pas d’informations directement exploitables et l’effort qu’il déploie pour tenter de les déchiffrer monopolise les ressources dont il se servirait pour les mémoriser.

L’isolement auditif conduit-il à l’isolement social ?

La personne qui perd de l’audition reçoit des informations que le cerveau auditif n’est pas en mesure de retranscrire. Il se produit alors un phénomène cognitif et elle tend à s’isoler du monde extérieur. Ignorer sa famille, ses amis, ne plus sortir pour faire ses courses, sont des décisions qui risquent de conduire à l’isolement, puis à un état de démence.

La perte auditive n’est donc pas sans conséquence, mais pas non plus sans solution. En cherchant l’aide d’un médecin spécialisé le patient reçoit un diagnostic qui l’oriente vers l’appareil auditif adapté. Avec cette aide, l’objectif est de dissocier perte auditive et perte de une vie sociale.

Des appareils auditifs haut de gamme sont maintenant disponibles sur le marché. En restant dans des gammes de prix abordables, certaines marques développent des prothèses performantes, résolvant totalement la problématique des patients. L’usage de ces appareils auditifs est simplifié par des prothèses qui sont discrètes, légères et qui se positionnent et se règlent sans effort.

L’audioprothésiste est un professionnel qui accompagne les patients porteurs d’appareils auditifs et les rassure sur leurs performances. Les marques les plus connues dispensent des conseils personnalisés et dirigent leurs clients vers les prothèses qui vont leur assurer confort et bien-être. Pour trouver des professionnels reconnus, direction l’annuaire de l’audition.

Le déclin cognitif est-il synonyme de démence ?

Chez les adultes vieillissants, les aptitudes mentales qui diminuent, les interactions sociales qui se raréfient, les sons qui deviennent des bruits sont identifiés comme troubles cognitifs.

Nous savons maintenant que la relation oreille-cerveau est de première importance pour entendre mais au-delà, il faut que les sons transmis soient compris. Ce sont les éléments cognitifs des sujets atteints d’une perte d’audition partielle qui entrent alors en ligne de compte : traitement de l’information au niveau du cerveau, mémoire et statut économique et social. Par exemple, un opéra entraîne des sensations qui restent inconnues de l’amateur de disco.

Cette étude et de bien d’autres sont-elle réellement concluantes ou est-ce qu’elles nous interpellent ?

Dans tous les cas et sans rien remettre en cause les résultats, quelques doutes sont apparus, entraînant des interrogations. Est-ce la perte auditive qui est responsable de la démence ou est-ce le déclin cognitif qui engendre une certaine forme de surdité ? Les personnes âgées dont les vies ont été bien remplies et riches d’expériences diverses et intenses sont-elles moins exposées à la démence que celles dont la vie était triste et morne ?

Les objets connectés, au cœur du débat scientifique

Selon une étude scientifique des chercheurs de l’Institut de Psychologie de l’Université de Lausanne, l’utilisation des objets connectés dédiés à la santé divisent la population.

Dans la publication, les chercheurs partagent l’utilisation des objets connectés santé en quatre catégories :

– la première catégorie concerne les patients ayant une maladie chronique qui notent au quotidien leurs symptômes et fonctions vitales.
– La seconde catégorie concerne les sportifs qui se servent de l’objet connecté afin d’améliorer leurs performances et de surveiller toutes leurs données.
– Arrive l’individu lambda qui surveille son activité afin d’atteindre des objectifs médians comme perte de poids ou musculation, voir obtenir un bon sommeil, ou surveiller sa grossesse.
–En dernier, on note les obsédés, ceux qui ont besoin de suivre toutes leurs activités, seconde après seconde.

Les chercheurs notent aussi des domaines plus exploités que d’autres dans l’objet connecté : l’activité physique, l’alimentation, le sommeil, la vie quotidienne.

S’il existe quatre catégories d’utilisateurs, les scientifiques annoncent deux tendances fortes en terme de vision de la technologie : ceux qui trouve les objets connectés utiles, et ceux qui s’inquiètent de cette connexion permanente. Ce sont ces deux courants qu’ils ont décidé d’étudier.

La vision positive : les objets connectés offrant des possibilités d’idéal et de santé surveillée

Les scientifiques ayant réalisé cette étude indiquent que les revues scientifiques actuelles sont particulièrement marquées par les auteurs à la vision positive face aux technologies digitales qu’ils perçoivent comme pouvant aider le milieu médical, voire les particuliers.
En effet en utilisant les objets connectés pour surveiller leur santé, leurs activités, ainsi que leur alimentation et les principaux signes vitaux, chaque individu peut connaître ainsi son corps et prendre soin de sa santé. Bien plus qu’avant.

La vision négative : les objets connectés une surveillance beaucoup trop importante

D’autres scientifiques ont tendance à montrer une grande réticence face aux nouvelles technologies digitales comme les objets et boutons connectés (via le réseau LORA par exemple), expliquant que les objets connectés instrumentalisent le corps humain et la santé.
En effet, en permettant d’avoir accès à des données particulièrement détaillées, l’objet connecté ne prend pas en compte la dimension humaine.
De plus utilisation des objets connectés pourrait amener à une obsession beaucoup trop importante : pesées pour perte de poids, exercices de musculation, etc.

Que doit-on penser de l’utilisation des objets connectés?

En conclusion, les scientifiques de cette étude assure qu’il n’y a pas de juste milieu : « la littérature analysée oscille rapidement entre « l’homme augmenté par la technique » et « l’homme diminué et soumis à la technique (…) cette opposition récurrente dissimule une conception du corps humain largement partagée, et qui s’apparente à une croyance qui semble partagée par les deux, soit pour la promouvoir, soit pour s’en inquiéter : le corps humain pourrait être mesuré, ajusté, programmé, contrôlé par les technologies, que cela soit espéré ou redouté ».

Faire souvent l’amour rend heureux

Selon une étude scientifique faire l’amour plus souvent rend plus heureux.
Cette étude aborde en première partie le nombre de fois qu’un couple doit faire l’amour pour rester heureux, avant de voir si faire l’amour rend globalement plus heureux.

Réussite du couple et relations sexuelles

D’après cette étude scientifique de l’Université de Toronto, les couples qui font l’amour quatre fois par mois sont plus heureux que ceux qui ne le feraient qu’une fois par mois.
Au delà d’une fois par semaine, le sexe perdrait par contre son incidence sur le bonheur.

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Le sexe, un atout bonheur plus important que l’argent !

En réalisant une étude sur un échantillon de 335 personnes , Amy Muise a découvert que le sexe était un facteur plus important que l’argent pour être plus heureux.
Si dans un premier temps les personnes gagnant 22000 euros par an sont moins heureuses que celles gagnant plus de 60000 euros, il semblerait que les couples qui se mettent à faire l’amour 4 fois par mois au lieu d’une fois seraient plus heureux qu’en voyant le salaire augmenter de 45000 euros.

L’étude n’aborde pas les couples sans revenu, ou au revenus faibles, on ne sait donc pas si les résultats seraient les mêmes, ou si l’argent prend plus ou moins de place.

Une conclusion tout en sagesse

Amy Muise a confirmé ses résultat auprès de la presse en ajoutant : «  En général, cet important de maintenir une connexion sexuelle avec un partenaire romantique, mais c’est tout aussi important d’avoir des attentes réalistes pour une vie sexuelle, étant donné que beaucoup de couples sont occupés et fatigués avec le travail et les responsabilités. Notre recherche suggère que le fait de s’engager dans une relation sexuelle régulière est associé au bonheur, mais ce n’est pas nécessaire, en moyenne, pour un couple de s’engager seulement dans le but de faire l’amour aussi fréquemment que possible. « 

 

 

Découverte d’un cerveau intestinal grâce au ver solitaire

Selon une étude scientifique le second cerveau de l’Homme est dans le ventre.

Alors qu’on associe souvent les maux de ventre au stress, les scientifiques viennent de dévoiler que le ventre est le siège de plus de 200 millions de neurones impactés par les milliards de bactéries qu’ils côtoient.

Pas si bête, le ver solitaire

La revue Brain, behavior and immunity a dévoilé les résultats impressionnant de l’étude scientifique en question. Les chercheurs ont utilisé le ver solitaire afin de déterminer son incidence sur ce second « cerveau » que serait le ventre.

Des ténias ont été glissé dans le corps de tout un groupe de rongeurs en parallèle d’un second groupe de rongeurs sains. Les deux groupes ont été infecté par une bactérie afin qu’ils produisent les protéines créant des maladies cérébrales avant d’être placé dans une même pièce. Lors de leur entré dans la pièce un courant électrique a été créé pour qu’ils assimilent l’endroit à un mauvais souvenir.

Lorsque tous les rongeurs sont retournés dans cette même pièce, le lendemain, ceux infectés par le ténia montraient une méfiance deux fois plus développée. Le ver solitaire avait permis de garder le souvenir du lieu malgré la maladie cérébrale.

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Est-ce nécessaire de se faire implanter un ténia ?

Non. Les chercheurs ont démontrés au travers de l’expérience du ver solitaire qui repousse la perte de mémoire, que la flore intestinale est en lien direct avec le cerveau et qu’il est parfois bon de se servir de cette piste dans le cadre des maladies neurodégénératives, par exemple, mais aussi dans le cas de trouble psychologiques, ou de maladies chroniques.

Si un ver solitaire a déjà une si grande influence sur la mémoire, les possibilité de créer des traitements ou des solutions différents des médicaments, jusque là prescrits, sont grandes.

Le directeur de recherche de l’INRA, Joël Doré, explique que «certaines bactéries jouent un rôle de protection contre les bactéries pathogènes, d’autres encore stimulent le renouvellement de la paroi intestinale et du mucus ou nos systèmes de défenses naturelles».

 

 

 

Plus d’obésité dans les régions comptant de nombreux McDonalds !

Selon une étude scientifique, plus il y a de McDonalds dans une région, plus le nombre de personnes obèses est élevé.

Un parallèle troublant entre obésité et McDonalds

Cette étude menée par des médecins de l’hôpital Avicenne de Bobigny, a été réalisée en prenant en compte les 45 pays les plus peuplés de chacun des continents et en le comparant à la carte d’implantation des McDonalds.

Afin de s’assurer d’avoir les bons chiffres, l’équipe scientifique s’est basé sur ceux de l’Organisation mondiale de la santé.

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Les résultats démontrent clairement que les régions avec de nombreux restaurants McDonalds sont celles ou l’obésité est la plus prononcée, avec une hausse de plus de 25% avec les régions ou ceux-ci sont moins bien implantés.

Une occidentalisation risquée

D’après le professeur Frédéric Lapostolle qui a co-écrit l’étude publiée dans le Journal of Internal Medicine « MacDonald’s est très fort pour s’adapter aux modifications des habitudes alimentaires et plus globalement aux changements de mode de vie. Dès qu’un pays commence à aller vers une consommation plus occidentale, il y a un MacDo qui s’ouvre « .

Selon cette étude scientifique, la France est l’un des pays les plus touchée, après les États Unis, car elle possède 19 restaurants par millions d’habitants.Si McDonalds sait s’implanter, il n’a pas autant d’impact en Chine ou en Inde.

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Si l’étude dévoile un parallèle important entre l’occidentalisation, l’apparition des McDonalds et l’obésité, elle n’apporte pas de preuve directe entre les restaurants et le surpoids.